-
Ma tante de 45 ans est sublime (8)
Datte: 04/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... mais celle que je porte et la dernière de propre ! — J’ai complètement oublié; tu fais bien de me le dire, je fais une petite lessive et je ferai un saut chez toi en revenant du golf demain vers 16 heures. — Ca me gêne un peu. — Oh nous sommes en famille, ne fait pas de chiqué ! - me dit-elle avec un petit clin d’œil. Je refis la bise à ma tante, cela me fit tout drôle... Elle me raccompagna, Andrew regardant la télé, assoupi. Nous fûmes dans l’entrée. Je la pris par les hanches, elle se débattit (très) légèrement et je l’embrassai avec fougue. J’eus le temps d’ouvrir son chemisier. Ma tante ne portait plus de soutien-gorge. Ses seins resplendissants se présentèrent à moi, arrogants, désireux de se faire prendre. Je les pris à pleines mains et opérai une succion sur l’un deux. Ma tante me caressa la nuque dans la foulée. Je pompai son sein affectueux et commençai à effleurer l’intérieur de sa cuisse. En remontant, je touchai son sexe en entier. Humide fut un vain mot. Ma tante était inondée de plaisir ! Il me fallait faire vite, aussi je pénétrai un doigt dans son intimité pour l’entendre gémir. Elle se colla à moi, crispant ses mains à mes épaules. Elle était sur le point de jouir, Chantal écarta ses jambes pour mieux se faire doigter. Un clapotis se fit entendre, sa liqueur abondait de son sexe. Je me baissai et soulevai sa jupe. J’attrapai son sexe avec la bouche et lui aspirai sa vulve toute entière. Ma tante lâcha un léger cri. — Petit salaud ! — Je sais que tu ...
... aimes... Chantal se donna de plus belle. Ce que nous faisions était complètement fou. Nous en étions conscients mais notre attirance, notre besoin de l’autre était le plus fort. Ma tante se laissait dévorer son sexe, je suçais ses lèvres exquises pour recevoir sa liqueur en récompense. Elle se tortillait du plaisir brut que je lui procurais. Je la voulais bestiale. Elle le fut. Ses mains s’agitaient dans mes cheveux quand elle se crispa intensément. Ma bouche était trempée de cette superbe liqueur appelée cyprine. Elle se mit à jouir dans ma bouche en me poussant la tête vers son sexe, afin que je la bouffe, que je lui aspire ses grandes ou petites lèvres. Je remontais vers son clitoris en le léchant délicatement. Elle murmurait sans cesse à voix basse - que c’est bon Jean, que c’est bon...- . Elle était ma chose. Je lui procurais sa jouissance, rien que pour elle, tout pour elle. Je sentis qu’elle en avait fini. Je me relevai et la vis exténuée, les seins à l’air, décoiffée. Son visage fut relâché avec un maquillage aléatoire. Elle était ma tante, belle à en crever. Je l’embrassai à nouveau. Elle ne refusa pas, bien au contraire. Je terminai par un baiser dans sa nuque majestueuse. Elle se recoiffa comme elle put. Je la regardai en lui souriant, elle respirait l’amour, le charme, la féminité. Elle me rendit mon sourire en me faisant un ultime baiser. Puis Chantal se caressa son intimité. - Ah parce que c’est fini ? — Mais ma tante, tu exagères ! — Viens par ici Jean. — Pas ...