1. Ma tante de 45 ans est sublime (8)


    Datte: 04/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... corail de rêve que me fit partager ma tante. La douceur de sa peau, son souffle haletant, ses multiples baisers m’emmenèrent dans son lagon de l’intérieur. Ce fut chaud, délicieux, enivrant, exaltant. Chantal avait partagé mon voyage. Je lui avais chuchoté mes délires paradisiaques. Elle avait apprécié. Tout comme la pression qu’elle exerça lors de ma jouissance en elle. Ce fut dantesque entre nous. Chantal gémit en silence. Son corail doré n’en pouvait plus, il se transforma en un atolls, sorte de havre de paix pour nous deux. Ce fut bien la première fois que nous fîmes l’amour, aussi rapidement en cachette. — Jean, c’est merveilleux ce que tu me racontes. - Tu étais avec moi, dans nos îles ! — Oui mon amour. Nous avions eu un orgasme commun, transformé sous une forme poétique. Nous savions pertinemment que notre relation prenait une tournure nouvelle. Notre façon de faire l’amour ce soir était devenue fusionnelle. Nous avions joui et pourtant, nous continuions de nous embrasser, toujours ayant faim de l’un et l’autre. Allions nous devenir indissociable ? Nous eûmes cette faiblesse de le croire. J’embrassai une dernière fois ma tante délicieuse et je pris l’initiative de m’en aller, la mort dans l’âme. Samedi J’avais pensé à ma tante une bonne partie de la nuit. Je regardai du haute de ma tour la Tamise, bien grise comme le temps. Je n’eus qu’une hâte, attendre 15 heures. La matinée se déroula d’une banalité affligeante. Je décidai de venir après 15 heures, histoire de me ...
    ... faire désirer par celle qui enflammait mes nuits. La pluie fine n’arrêta pas de s’abattre. Vers 16 heures, je sonnai, bien qu’ayant les clés. Ma tante m’ouvra, vêtue d’un charmant tailleur mettant en valeur sa silhouette charmante. Je pus admirer ses mollets ainsi que ses pieds toujours aussi gracieux. Nous nous fîmes la bise, comme une tante le ferait à son neveu. Son maquillage parfait avec un rose léger sur ses lèvres ne fit qu’attiser le bas de mon pantalon. Elle me fit quelques reproches pour mon arrivée tardive, je lui volai un baiser en guise d’excuse. Andrew était installé dans le canapé, il ne prit pas la peine de se lever et je vins le saluer. Nous bavardâmes de mon travail et je déviai sur les 3 semaines de repos. — Les médecins me conseillent d’y aller, mais tout compte fait, je suis aussi bien ici ! — Oui mais en maison de repos, tu restes sous surveillance, ton problème cardiaque, ce n’est pas une mauvaise grippe. — Ah si j’avais juste une grippe ! non, je reste là et ma femme veillera sur moi, pas vrai Chantal ? — Je le ferai mais en rentrant du boulot, tu vas rester seul du matin au soir. — Qu’importe, la télé me suffit ! Nous prîmes une tasse de thé et je regardai ma tante, le visage stoïque. Je ne voulus point m’attarder. Je saluai mon oncle comme il se doit, ainsi que ma tante totalement désabusée. Puis une idée jaillit dans mon esprit. — Alors à lundi au bureau Tatie. — Oui Jean, à lundi. — Au fait, tu as pensé à mes chemises, je sais que je t’embête avec ça ...
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