1. Premier matin


    Datte: 05/05/2020, Catégories: ff, jeunes, couple, grosseins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral humour, coupfoudr, Lesbienne

    ... coule sur ma langue pour finir au fond de ma gorge. Quel goût. Quelle saveur ! Ses membres s’agitent, puis s’immobilisent. Elle retombe sur moi, étendue de tout son long, ses jambes repliées sous elles. En levant péniblement la tête, j’aperçois sa poitrine nue qui se soulève au rythme de ses respirations et quelques mèches de cheveux dépassant de-ci delà. Au bout d’un long moment, elle se remet à bouger, déplie les jambes, soulève les épaules, se glisse hors de son peignoir pour pénétrer dans le pull que j’occupe déjà. Ses mains tâtonnent le long de mon corps pour trouver mes bras et s’insinuer dans les manches à leurs côtés. Sa poitrine frôle ma peau, déclenchant d’agréables caresses le long de mes jambes, puis de mon ventre. Ses lèvres se déposent sur mon nombril, sous mes seins, sur ma gorge, puis sous mon menton. Je me mords les lèvres et ferme les yeux alors que nos tétons entrent en contact, mais les siens continuent et s’arrêtent un peu plus haut. Je rouvre les yeux pour tomber dans son regard émeraude. Sa bouche capture la mienne, ses doigts se mêlent à mes doigts, et nous nous embrassons. Avec les lèvres. Avec la langue. Avec les mains, qui jouent, s’affrontent, s’emmêlent et se démêlent comme quatre corps amoureux. Puis elle s’arrête. Elle pose sa tête sur le côté. Elle rentre ses mains dans le pull, dépose la gauche sur ma joue et la droite sur mon sein, et soupire : — Tu m’as épuisée, chaton. Je crois que je vais dormir un peu, tu es confortable. Profite-en pour ...
    ... prendre ton petit déjeuner, ça va refroidir. Je suis un peu surprise. Mais je commence à m’habituer à ses excentricités. J’embrasse ses doigts, puis me dégage de sa main et tend un bras vers la table. Il est juste assez long pour saisir une chocolatine, la tremper dans le bol et la ramener à ma bouche. Des gouttes de lait tombent sur le tapis durant l’opération. Il va falloir nettoyer. Tant pis. Virginie dort déjà. Son petit corps chaud pèse agréablement sur le mien. Je sens sa poitrine qui écrase la mienne un peu plus à chaque respiration, et juste en-dessous son cœur qui bat à deux doigts du mien. J’aimerais que cet instant dure une éternité. J’aimerais qu’un voyeur nous prenne en photo, que nous puissions nous retrouver toutes les deux enlacées sur le mur de cette pièce, parmi tant d’autres filles. Tiens, d’ailleurs, Virginie doit déjà s’y trouver, non ? Tout en mangeant, je me tords le cou pour regarder les photos accrochées un peu partout. Oui, je vois Virginie. Virginie seule, dénudée. Virginie avec une petite rousse, en train de l’embrasser. Virginie dans les bras d’une beauté d’ébène aux cheveux tressés. Virginie entre les cuisses d’une japonaise qui se tortille comme un ver. Virginie avec son sosie miniature, en train de poser sur un pont (Probablement sa sœur. En tout cas, c’est une des rares photos où mon amante est sage). Virginie sur une moto, entourant la taille d’une brune portant une veste en cuir. Virginie joue contre joue avec une fille aux cheveux violets et ...
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