Une infirmière au petits soins.
Datte: 06/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
(fiction partielle écrite en 9.2010). A l’automne dernier, j’ai du être hospitalisé dans un grand établissement assez loin de mon domicile. Je devais y rester une petite semaine pour subir une série d’examens dont certains devaient se faire en continu sur au moins deux jours. Les deux premiers soirs, je m’ennuyais ferme car, branché à divers moniteurs, je ne pouvais pas bouger ni même regarder la télévision. De temps à autre, une infirmière venait voir si les appareils fonctionnaient bien et si j’avais besoin de quelque chose de particulier. Puis c’était la longue nuit inconfortable de tous les hôpitaux, avec les bruits divers qui se répercutent dans les couloirs déserts. Le mercredi, j’ai eu la surprise de voir arriver une infirmière différente des soirs précédents. Très grande, la silhouette élancée, de longs cheveux noirs pris dans une coiffe pour les couvrir avec une frange tombant quelques centimètres au dessus des sourcils. Agée d’une quarantaine d’années tout au plus, c’était vraiment une belle femme et sa blouse blanche ajustée sur son corps mince accentuait encore son allure sexy et des formes agréables à regarder. Pendant qu’elle vérifiait le dernier appareil auquel j’étais encore relié, je lui fis des compliments pour la flatter un peu tout en plaisantant. Sur le même ton, elle me traita de coquin mais elle appréciait ce que je venais de lui dire car, me dit-elle, les patients qui la voyaient réellement comme une femme étaient rares. La plupart ne prêtait guère ...
... attention à ses charmes. Ce soir là, j’eus encore plus de mal à trouver le sommeil, chaque fois que je fermais les yeux, je voyais ma belle infirmière penchée sur moi et mon imagination galopait, inventant divers scénarios coquins où nous nous trouvions mêlés. Avant de quitter son travail au petit matin, elle est repassée par ma chambre pour s’assurer que tout allait bien. Dans mon demi-sommeil après une très mauvaise nuit, je répondis par un grognement peu sympathique. Le jeudi soir, j’étais libre de mes mouvements mais je devais encore passer la nuit à l’hôpital car le lendemain je devais avoir les premiers résultats de mon bilan de santé. Vers 22 heures, je vis arriver ma belle infirmière. Elle n’avait rien de particulier à vérifier car j’avais reçu mes médicaments du soir et du matin en même temps que mon repas. Nous avons repris notre conversation de la veille sur un ton badin et elle ne semblait pas pressée de continuer sa ronde dans les autres chambres. Soudain, elle s’assit sur le lit en posant une main sur ma cuisse puis elle remonta jusqu’au pli de l’aine. Là, au travers de la couverture, elle découvrit mon sexe à demi bandé. Je vis passer dans ses yeux comme un éclair d’excitation et de mon côté, j’avançai ma main droite vers le bas de sa blouse blanche. Quand j’ai commencé à remonter entre la fourche de ses cuisses, elle n’a rien dit. Ma main a poursuivi son cheminement jusqu’à la limite de ses bas où j’ai trouvé une chair chaude et une chatte totalement accessible. ...