1. Une infirmière au petits soins.


    Datte: 06/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Ma belle dit alors qu’elle ne portait jamais de string ou de culotte. Elle aimait sentir son abricot à l’air. Pour faciliter ma caresse, elle se releva et se mettant le long du lit, elle fit voler la couverture et le drap, abaissant le pantalon de mon pyjama, elle vint masser ma bite pour achever de la faire dresser. J’avais la main sur sa chatte et je la pénétrais de deux doigts. Chaude et humide sa gaine ! En peu de temps, elle était lubrifiée. Quand elle se baisa pour venir emboucher mon sceptre, elle maintint la position pour que je continue à la masturber. Cela ne devait pas lui suffire. Elle monta sur le lit, enjamba mon bassin et, tout en continuant à me pomper, elle frottait sa vulve sur une de mes jambes. Lorsqu’elle me sentit à point, elle se releva et d’un seul mouvement elle introduisit ma bite dans sa chatte en relevant le bas de sa blouse. Je voyais mon sexe disparaitre au fond de sa grotte lisse et je pouvais de cette manière saisir ses hanches et l‘aider à faire les mouvements de va-et-vient sur mon bâton de chair. C’est d’ailleurs tout ce que je pouvais faire jusqu'au moment où elle ouvert les boutons de sa blouse. Elle ne portait qu’un soutien gorge à demi bonnets qui soutenaient ses seins tout en laissant voir une grande partie des aréoles. J’ai tendu mes bras pour aller les caresser. Waouh! Quelle poitrine, pas très volumineuse mais d’une fermeté ...
    ... telle qu’on aurait pu la croire artificielle. Il n’en était rien. D’elle-même elle a dégrafé son soutif pour libérer sa poitrine tout en me chevauchant de plus en plus vite. Soudain elle se cabra, jouissant fortement au moment précis où je déversais un abondant flux de sperme au fond de sa chatte. Elle resta le buste allongé sur le mien pendant quelques minutes pour retrouver son souffle puis elle me quitta en m’embrassant amoureusement pour reprendre sa ronde de nuit. Au petit matin elle est revenue dans ma chambre en tenue de ville. Elle avait terminé son service. Je la remerciai une fois encore de ce qu’elle m’avait accordé la veille au soir. En riant elle rétorqua que c’est elle qui me disait MERCI car elle avait bien joui et qu’après, sa nuit avait été calme et sereine et que pour bien la terminer, elle allait s’offrir une rasade de sperme. Joignant les actes à ses paroles, elle se mit à genoux devant moi, fit glisser le zip de mon pantalon (je ne porte que rarement des slips) et emboucha ma bite jusqu’au fond de sa gorge. Quelle suceuse et quelle gorge profonde, en moins d’une minute, je déversai au fond de sa gorge une nouvelle giclée de sperme. Avant de me quitter, elle me dit que si je revenais dans un autre service, je devais demander Sandrine. Elle s’arrangerait pour venir me voir. A plus de cinquante ans, je mesurais la chance que j’avais eu de la rencontrer. 
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