1. La gêne et le plaisir - Partie 9


    Datte: 06/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sais où autour de moi. Sous mon sexe collant l’herbe me piquait. Je me sentais si bien. - Prête à découvrir la vérité ? me demanda-t-il. - Oui, Maître. Il me retira mon bandeau. J’étais dans un parc inconnu. Désert. Les bavardages que j’entendais me parvenaient de l’autre côté d’un haut mur derrière lequel on ne voyait rien. Soulagée, je serrais fort mon Maître dans mes bras. Je me sentais un peu idiote de m’être tant inquiétée, et en même temps si fière d’avoir dépassée ma peur. Il me souleva du sol et me porta jusqu’à la voiture. Il retourna chercher mon manteau et me le donna pour que je l’enfile. - Tu peux être fière de toi, c’était une incroyable performance. Peu de gens auraient été capables de faire ce que tu as fait. Je lui adressais un grand sourire. Il me tendit une main que je pris avec joie. Il ne me lâcha pas du reste du trajet, conduisant d’une seule main. En arrivant devant la maison, il vint m’ouvrir la portière et m’aida à descendre. J’étais si pleine d’amour envers lui que je l’étreignis subitement. J’ignore ce qui passa alors dans nos esprits. Je l’aidais à arracher ses vêtements et bientôt nous nous embrassions sauvagement sur le capot de la voiture. - Je vous en supplie, baisez votre chienne, suppliais-je. Il avait heureusement un préservatif dans la poche de son jean tombé au sol. J’attendais, allongée sur le capot, ouverte et entièrement soumise à sa volonté. Il revint à moi, m’embrassa fougueusement en pétrissant mes seins, et guida son pénis dans ...
    ... ma chatte. Je poussais un cri de plaisir, celui d’être enfin comblée après une attente brulante. Ce n’était pas la première fois du week end qu’il me faisait l’amour, mais c’était incomparable avec tout ce que nous avions connu jusqu’alors. Ce nouveau lien établi faisait toute la différence. J’arquais mon corps sous ses coups de hanches, je tendais à l’infini mes jambes, je voulu griffer son dos mais il retint mes mains et les garda serrés dans l’étau de ses poings. Soudain ce fut l’explosion, puis la redescente. Il se retira de moi et m’embrassa encore. - Ça vient un peu tard, mais tu as le droit d’orgasmer, plaisanta-t-il quelques temps après. J’étais incapable de me relever, allongée sur le capot. Il dû s’assoir par terre, lui aussi secoué. Nos souffles haletants en concert, nous reprîmes nos esprit. Je me levais enfin du capot et l’aidais à se relever. Il ramassa ses fringues et nous rentrâmes dans la maison. Dans le hall, nous vîmes notre reflet, hirsutes, transpirants, couverts de saleté, nous avions une sacré dégaine. Il déjeuna à table, moi à quatre pattes devant une gamelle. Lui habillé, moi toujours nue. Je pouvais à peine le quitter du regard. Mon Maître. Rien que l’appeler ainsi me donnait des frissons. Après avoir débarrassé la table, il alla chercher une liasse de papier et me la présenta avec un stylo. Contrat de soumission Ce contrat constitue la preuve écrite d’un accord qui définit en termes spécifiques la relation de domination qui s’institue entre deux ...
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