1. Blackbird


    Datte: 07/05/2020, Catégories: f, h, Collègues / Travail toilettes, fsoumise, Masturbation scato, humour,

    ... la regarder si c’est ce qu’elle exige. Il en serait évidemment incapable. Aujourd’hui, elle est vêtue d’un pull à col roulé que surligne un collier de perles et d’un jean neuf tendu aux fesses et cuisses. Elle s’est chaussée de bottines à talon qui rehaussent son derrière. Laurent la dévore du regard tandis qu’elle s’éloigne vers la photocopieuse. Elle porte ses cheveux en catogan. Il adore qu’elle fasse ça. On voit mieux son visage, ses oreilles et sa nuque. Surtout que les gouttes de nacre qui ornent son col rappellent à Laurent ses éjaculations de l’été dernier, après la révélation mammaire. Il veut se rendre aux toilettes pour se masturber, imaginer son sperme recouvrant le visage de Christine, mais est intercepté par son chef de service qui le retient. Quand il peut se libérer, il réalise que Christine le précède dans le couloir vers les toilettes. Son joli popotin ondule trois secondes dans le corridor avant de disparaître côté filles. Les toilettes sont symétriques, séparées par une fine cloison. Laurent s’y engouffre et entend Christine refermer la porte de l’unique WC. Il s’introduit dans la cabine opposée et s’y enferme aussi. Aux bruits qu’il perçoit à travers la cloison, il devine que Christine baisse son pantalon – et peut-être un string noir – pour s’asseoir, cul ouvert, à quelques centimètres de la queue dressée qu’il branle derrière elle. Il veut la défoncer. Lorsqu’il entend un plouf suivi d’un gémissement, il comprend que Christine défèque et que c’est ...
    ... agréable. Alors il imagine cet anus béant à deux pas de son gland, se tétanise en réprimant un râle obscène et éclabousse de sperme tout le bloc chasse d’eau. * * * * * Christine est aujourd’hui d’assez bonne humeur. Certes, elle ne passerait pas toutes ses journées à faire de l’archivage, mais une fois de temps en temps, ça permet de se vider l’esprit et de bouger un peu. Le meilleur côté, c’est que ça lui donne du temps pour penser à Didier. Le mauvais côté, c’est que ça lui laisse aussi le temps de penser à Alain. Quand Alain se fait trop présent, elle s’immerge dans le travail jusqu’à ce qu’une stupide association d’idées évoque à nouveau Didier. Tiens, le mateur du bureau du coin, se dit-elle en se dirigeant vers les toilettes. Tant qu’il est occupé avec son chef, au moins, il ne bave pas. Christine sait apprécier les regards flatteurs, mais cette obsession frise l’indécence. Elle se sent souillée par ces œillades lubriques et préfère ignorer ce qu’elle suscite. Mais sitôt la porte du WC refermée sur elle, elle dégrafe son pantalon et un souvenir de Didier l’assaille. Elle a adoré qu’il l’oblige à se déshabiller. Elle a adoré qu’il la guide, l’encourage, la retienne. Elle ne s’était jamais sentie aussi chaude. Quand elle fut nue devant lui, la honte et l’excitation se mêlèrent si fortement qu’elle crut s’évanouir. Elle y repense et son cœur accélère. Elle se sent coquine. Elle enlève ses chaussures puis baisse son pantalon comme il lui a appris, cambrée, sans précipitation et ...