Blackbird
Datte: 07/05/2020,
Catégories:
f,
h,
Collègues / Travail
toilettes,
fsoumise,
Masturbation
scato,
humour,
... en tortillant des fesses. Elle le fait glisser sur ses chevilles et l’enlève. Après quelques déhanchements, elle abaisse sa culotte et l’ôte à son tour. Se retrouver, sur son lieu de travail, sans aucun vêtement de la ceinture aux pieds tout en gardant son pull et ses bijoux, la plonge dans un trouble étrange, un contraste de chaud et froid inversés. Elle passe sa main sur sa fente et constate qu’elle glisse. Elle tend alors avec lenteur sa croupe vers le siège des toilettes. Elle a pris cette habitude, depuis quelques semaines. Depuis que Didier lui a dit que le plaisir de se faire sodomiser se rapproche du plaisir ressenti juste avant de déféquer. C’est comme ça qu’il l’a convaincue. Elle a d’abord essayé et découvert toute seule. Elle s’assied, se relaxe et commence à relâcher son anus, laissant peser sur lui le poids des excréments. Elle retarde l’instant. Elle s’imagine à quatre pattes, nue entre les bras de Didier, la tête enfouie dans l’oreiller. Le gland presserait au milieu et s’introduirait sans peine. Son anus s’écarte. Un premier colombin pointe son gros nez. Elle est constipée et apprécie d’autant plus. Encore qu’une bonne chiasse amplifie la sensation d’abandon, se corrige-t-elle. Elle a rêvé l’autre nuit que Didier lui pinçait les mamelons à travers sa robe un jour où elle avait la diarrhée. Incapable de se retenir, elle se vidait dans sa culotte. En se réveillant en sursaut, elle a cru un instant qu’elle avait chié au lit. Mais foin de diarrhée pour l’heure ; ...
... Christine préfère la dilatation d’un dur caca qui lui distend l’anus comme un nœud démesuré. Elle n’a jamais pratiqué la sodomie avec son jeune mari. Alain est timoré. Maladroit, parfois… Faire l’amour avec lui demande de la tendresse, de profonds sentiments, beaucoup de dignité. Avec lui, elle voudrait un enfant. Mais Didier a fait d’elle sa chienne. Elle rampe pour le sucer. Il la gave de foutre en la traitant de tous les noms du trottoir. Jamais elle ne s’est sentie aussi animale. Elle a des orgasmes cérébraux en repensant à ces pipes qu’il lui fait tailler les mains liées dans le dos. Il parle de la livrer à d’autres hommes, même à des femmes. Mais ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est renoncer à tout contrôle sur son rectum. Alors elle s’ouvre en grand et un premier boudin commence à s’extruder. Il est énorme et elle devrait forcer mais elle préfère laisser son anus se détendre en prenant tout son temps. Elle savoure chaque instant, comme quand Didier l’encule. L’étron force la voie. Christine pousse, contracte ses abdominaux et s’ouvre. Elle s’écarte les fesses à deux mains, ondule du bassin comme sur la queue de Didier, pousse de nouveau. Elle a besoin d’une bite. Elle se sent dilatée et prête à exploser. C’est gros comme… elle ose à peine le penser. Comme une verge plus grosse… que celle de Didier… Une très grosse. Soudain, elle revoit cette photo, aperçue il y a des années lors d’une fête chez un copain de classe : une sorte de monsieur muscles noir, doté d’un sexe ...