1. Amours culottés (5)


    Datte: 07/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... brasserie artisanale sur la frontière hollandaise. Tu te rappelles ? — Tu parles ! J’ai failli faire pipi dans ma culotte. — T’as fait un peu ; il y a une tache jaune sur le devant et je crois que je vais le porter toute la semaine. Par contre, il risque d’être vraiment dégueulasse quand je te le rendrai vendredi. — Et c’est moi le cochon… moi, c’est le string bleu de ta mère que j’aimerai porter mais j’ai peur de l’abimer. — Ce n’est pas grave, Chéri ; je te le donne si tu veux. Pour info, ton fils, malgré ce qu’il a dit, s’est mit à bander quand tu as dit quel caleçon tu avais sous le nez. — Et toi, tu mouilles ? — Moyen ; tu me manques trop… Mais si Brice me lèche la chatte, ça ira vite. — Je vais m’en charger, Maman, et m’occuper de ton cul, dit Brice en caressant l’entrejambes de sa mère au travers du legging. La nouvelle année universitaire de Brice commença donc comme la précédente avait fini, mais avec des retrouvailles encore plus chaleureuse chaque week-end à trois. Les vacances de Noël se passèrent comme celles de l’été, à ceci près qu’elles se firent dans un chalet près de la frontière avec la Tchéquie. Par contre, son travail universitaire lui laissait beaucoup moins de temps pour l’oisiveté et, vers le printemps, il finit par persuader sa mère d’aller rejoindre son père sans lui. Il était en troisième année de médecine et souhaitait avoir les meilleures notes possibles avant de rentrer en externat. Elle le quitta inquiète le vendredi soir avec un stock de ...
    ... culottes portées durant la semaine et un lot de slips sales envoyés par Gabriel. Pour Brice, c’était une véritable expérience. En 19 ans d’existence, il n’avait jamais vécu seul et découvrit amèrement qu’il en était incapable. Sa mère avait tout préparé pour lui et il n’avait pour ainsi dire qu’à réchauffer ses plats, mais il les mangea soit brulés, soit crus, soit pas du tout. La solitude de la maison lui donnait des angoisses terribles et lorsque Line rentra le dimanche soir, la porte d’entrée était fermée à double tour en haut et en bas, tous les volets étaient baissés et la maison plongée dans une obscurité lugubre. Elle monta directement vers la chambre de Brice qui elle aussi était fermée à clé de l’intérieur. — Brice ? Tu es là ? C’est Maman… — Maman ?! Oui ! J’ouvre ! — Mais en fin, Brice, pourquoi tout est fermé comme ça ? — Je… j’ai entendu des bruits. — Oh, mon Chéri, il y a toujours des bruits dans les maisons. Je suis là maintenant… C’est une idée ou ça sent le brulé. — Mince ma pizza ! Line devança son fils jusqu’à la cuisine, éteignit le four et lorsqu’elle l’ouvrit, il s’en dégagea une fumée épaisse. Après quatre heures de cuisson à une température trop élevée, il ne restait qu’une masse de charbon totalement desséchée. — Ouvre les fenêtres et les volets ; on va s’asphyxier dans cette pièce ! Line était contrariée d’avoir abandonné son fils. Même si Brice leur avait, bien évidemment manqué, ils avaient passé, avec Gabriel, un week-end très agréable qui leur avait ...
«1...345...10»