1. Amours culottés (5)


    Datte: 07/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... rappelé leurs jeunes années, mais, là, elle comprenait qu’il n’était absolument pas prêt à vivre seul. Elle ne fit, cependant, aucune remarque en voyant à quel point son fils était désespéré. — Allo, Gabriel !… Non, ça ne va pas ! Brice est dans un état lamentable ! Il n’a rien mangé de convenable, a stressé et paniqué pendant deux jours ; la maison était plus fermée qu’un coffre fort et il y avait pratiquement le feu dans la cuisine… Il ne l’est pas un peu ! Il est totalement déprimé… Non, je n’exagère pas ! Il est en train de pleurer sur le canapé, n’a pas réussit à travailler du week-end et, le pire, il n’a pas sali plus d’un slip et d’une culotte !… Bien sûr que je vais m’occuper de lui et non, il n’ira pas à la fac demain ; je le garde avec moi et je l’emmène voir le médecin… Bien sûr que je vais me faire arrêter ; que veux tu que je fasse ?… Tu pourrais faire ça ?… Oh, Gabriel, se serait magnifique !… Je t’embrasse, moi aussi ; je t’aime… Je lui dirai, bisous, mon Amour… Oui, moi aussi… Bisous. Line sans être pleinement rassurée se sentait un peu mieux en reprenant son fils dans ses bras. — Ton Papa sera là au mieux demain soir et au pire mardi. Toi, tu vas rester avec moi et demain tu vois le docteur Legendre. — Ça va aller, Maman ; ce n’est pas nécessaire. Et puis, vous n’allez pas tout arrêter pour moi. Comment Papa va faire avec son travail ? Il ne peut pas venir là sans annuler tout un tas de choses importantes. Il faut que j’aille à la fac. — Non ! Pas demain, en ...
    ... tous cas… Tu n’as pas supporté d’être seul et tu es en état de choc, ça s’appelle. Ton père n’annule rien ; cela fait des mois qu’il devrait déjà être venu ici pour régler quelques soucis avec l’usine, mais il n’avait pas envie de le faire par amitié pour Rémi. Tu lui fournis juste la motivation qui lui manquait. — Il joint l’utile au désagréable, en quelque sorte. — Oh, tu retrouves ton sens de l’humour, c’est déjà ça. Mais Brice ne retrouvait pas seulement son sens de l’humour ; il affichait aussi une solide érection, alors Line lui retira son caleçon et se contenta de retirer sa culotte pour le chevaucher habillée. Son garçon se laissa faire, tellement heureux d’être aimé par Maman, et elle fut ravie de le sentir jouir longuement en elle. Gabriel arriva le lendemain soir, comme promis, et resta chez eux jusqu’au dimanche. Brice avait été arrêté toute la semaine et sa mère également pour pouvoir s’occuper de lui. Le garçon fut donc dorloté, choyé et aimé par ses deux parents pendant six jours et cela lui fit beaucoup de bien, mais son incapacité à supporter la solitude n’était pas guérie. Le week-end suivant il accompagna sa mère à Berlin et ensuite, ce fut Gabriel qui rentra en France deux jours chaque semaine pour le plus grand plaisir de Line qui réalisait à quel point elle avait besoin de son mari. Brice eut, comme d’habitude des notes excellentes à ses examens et, cette année là, ils passèrent leurs vacances en location dans le sud de l’Espagne. Leur amour paraissait ...
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