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Amours culottés (5)
Datte: 07/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... était pris de panique et rouge de confusion. Il rangea précipitamment sa verge dans son caleçon, mais Barbara l’empêcha de refermer totalement son pantalon. — Ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça, cochon ! J’ai envie de voir le truc qui salit mes culottes depuis trois jours. Et d’abord, pourquoi que les miennes ? Tu m’expliques, gros pervers ? — Ce… C’est à cause de leur odeur ; je pourrais les identifier les yeux fermés, mais je ne savais pas à qui elles appartenaient. — T’es en train de me dire que tu renifles toutes les culottes pour reconnaître les miennes et te branler avec ? T’es vraiment dégueulasse… Et tu trouves que je sens bon ? — Tu… Tu sens très bon. C’est ton odeur que je préfère. — Montre moi ta bite, Cousin, puisque tu renifles mes odeurs de chatte, tu peux bien me la montrer… Sinon, je dis à tout le monde que t’es un gros dégueulasse qui se branle dans les culottes des femmes. Barbara était une jeune fille plutôt délurée et, sans se démonter, elle rouvrit la braguette de son cousin et baissa d’un coup le pantalon et le caleçon. Brice ne bandait plus, mais son sexe n’avait pas encore retrouvé sa taille minimum et il avait un beau boudin blanc de 15 centimètres qui pendait mollement sur sa grosse paire de couilles. — Putain, ça c’est de la queue ! Comme Papi… — Parce que tu connaissais la queue de Papi ? — Euh, oui, un peu, répondit Barbara en rougissant. Il faut dire que j’étais sa petite-fille préférée… Maman et Mamie l’ont toujours su, d’ailleurs, ...
... mais elles nous ont laissés tranquilles. Tu permets que je te suce un peu ? — Mais si quelqu’un vient ? — Attends, je ferme à clé… C’est vraiment une manie familiale, ça de toujours tout fermer à double tour. L’avantage c’est que ça permet de s’isoler vraiment ; il y a une clé à toutes les portes. — Euh… Barbara ? Tu accepterais de me montrer tes seins ? — Parce que tu crois que je vais te sucer habillée ? Tu rêves, pépère ! Un mec qui est capable de reconnaître mon odeur parmi toute celles des femmes de la famille, ça se dorlote. Retire tes fringues, que je t’admire… J’ai toujours trouvé ton père craquant et tu lui ressembles tellement que je crois que je vais prendre mon pied. — Parce que tu as couché avec Papa, aussi ? — Non, et je ne sais pas ce qu’il a dans le slip, mais je me rappellerai toujours de ces vacances où il nous a apprit à faire des bombes et des saltos dans la piscine. Avec tous ses muscles, qu’est-ce que j’ai mouillé… Mmm… T’es vraiment bien foutu ; comme lui… — Ooooh… Barbara, qu’est-ce que tu fais ? — Je te suce, personne ne t’a fait ça ? Remarque, c’est peut-être normal ; si tu te branles dans mes culottes, c’est sans doute que t’es puceau. Mmm… — Ooooh… Oh oui… Non, je ne suis pas puceau… Oooooh… Oh oui, Putain, tu m’avales entièrement en plus… Aaaah… Ah oui, Barbara… Tu m’excites… — Mmm… Toi aussi, tu m’excites. Tu veux m’la mettre ? — J’n’ai pas de capote… Mmm… Ooooh… — Moi je suis clean et je prends la pilule… — Moi aussi, je suis clean… Viens, lève ...