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Amours culottés (5)
Datte: 07/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... toi ; je vais te faire l’amour. Brice prit sa cousine en levrette debout dans la buanderie, leurs habits mélangés trainaient sur le sol à leurs pieds. Elle avait les deux mains appuyées sur le mur et il lui ramonait la chatte avec une expérience et une puissance que Barbara avait rarement rencontrées. Ils jouirent ensemble et elle le sentit se déverser en elle avec un plaisir immense. Brice et Barbara ne se quittèrent pas de la journée et les jours suivant non plus. Ils s’esquivèrent régulièrement de la folie familiale pour des balades à deux en forêt durant lesquelles, entre deux coïts, ils se parlaient d’eux. Barbara expliqua quels étaient ses vrais liens avec leur grand-père commun et comment elle en était venue à devenir sa maitresse. Brice, de son côté, lui avoua les relations qu’il entretenait avec ses parents. La jeune fille fut un peu surprise d’apprendre qu’il faisait l’amour avec son père autant qu’avec sa mère quand ils étaient réunis tous les trois, mais elle ne le jugea pas dans la mesure où il lui affirma que ça ne pourrait pas fonctionner avec un autre homme. — J’adore mes parents, tu comprends ? Je les aime comme ce n’est pas permis et j’aurais toujours besoin d’eux, je crois. Les mecs ne m’excitent pas, autrement ; je ne me ferais pas lécher le trou de balle et enculer par un cousin ou un copain, encore moins par un inconnu. Pas plus que j’enculerais un mec, d’ailleurs, mais Papa, c’est différent… Et puis, il aime Maman ; je ne peux pas faire autrement que ...
... de l’aimer. — Je comprends… Moi aussi, je crois que je pourrais être un peu goudou avec Maman… Ou même Tata, elles se ressemblent tellement. Tu crois que tu auras Paris ? — Si c’est pour t’y retrouver, c’est sûr ! Je t’aime Barbara. Je t’aime tellement et dans trois jours, tu vas me manquer. — Moi aussi, je t’aime à la folie. On pourrait se retrouver le week-end ; avec le tgv, il n’y en pas pour une heure. Mais ça coûte cher, et puis… Ça craint quand même un peu ; on est cousins. — C’est pire qu’une mère, un père ou un grand-père, Tata ? — Non, c’est sûr… Mais ne m’appelles plus jamais Tata, s’il te plait. — Je ne le ferai plus ; c’est promis, Barbie. — C’est comme ça que m’appelait Papi, dit Barbara avec un air triste. — Pardon, Amour, je ne le savais pas. Je ne le ferai plus non plus. — Oh si ! Tu peux ! Ça me plait d’être ta Barbie, même si ça m’a mis un petit coup de nostalgie. — Cool, parce que ça te va bien et pour les voyages en train, je vais les payer ; je suis externe et je gagne un peu d’argent. Un médecin avec une artiste fauchée, ça le fait, non ? — T’es un gros couillons, Monsieur Martin… Je ne suis pas si fauchée ; j’arrive à travailler assez pour payer mon loyer, mes charges et ma bouffe ! — C’est marrant que tu aies dit « Monsieur Martin » ; c’est exactement comme ça que Maman appelle Papa quand elle est un peu fâchée. En tous cas, dans un sens comme dans l’autre, les billets de trains je le payerai. Ce jour là, Barbara et Brice revinrent à la maison avec une ...