1. Christine et nos jeux humides, première partie


    Datte: 08/05/2020, Catégories: fh, telnet, volupté, cérébral, couche, Masturbation uro,

    Elle s’appelait Christine, elle était étudiante et se faisait un peu d’argent de poche comme animatrice sur un serveur de Minitel rose. Mais en l’occurrence, je l’avais connue sur un serveur presque gratuit (en 36 14). C’était donc avant l’époque Internet. La conversation avait commencé sur le ton de l’humour. Pendant plusieurs jours, nous n’avons pas abordé le sexe, qui n’était d’ailleurs pas le thème privilégié de ce serveur tourné vers la convivialité. Puis, de petite allusion en petite allusion, nous avons commencé à parler de pratiques et de fantasmes. Une partie des miens étant assez orientés « jeux humides », j’ai abordé le sujet en prétextant que j’avais eu une copine qui aimait porter des couches culottes et s’oublier dedans. À vrai dire, cette copine aimait aussi et surtout inonder ses dessous. Et les couches culottes ne représentent pas précisément mon fantasme. Mais je trouvais que cette approche du sujet était la plus soft possible. Je m’attendais à un aimable rejet de la part de Christine. — C’est intéressant et excitant ! Donne-moi des détails, me répondit-elle à ma grande surprise, ce que je m’empressai de faire.— Cette copine aimait que je la change. Lorsqu’elle s’apprêtait à mouiller sa couche-culotte, elle me regardait droit dans les yeux et se laissait aller. Ensuite, je plongeais une main dans sa couche-culotte et la caressais jusqu’à la faire jouir. Ensuite, éventuellement, je la changeais. D’autre fois, j’arrachais son attirail mouillé et lui faisais ...
    ... l’amour. Christine avait lu attentivement mon petit récit, rapide condensé des pratiques que j’avais avec cette copine. Nous avons un peu développé le thème. Me sentant en confiance, je lâchai laconiquement cette phrase : — Tout ça m’a beaucoup excité, il faut que j’aille me masturber, à bientôt.— D’accord, au revoir, me répondit-elle simplement. Bien sûr, j’aurais pu rester devant mon minitel à chatter avec elle, me branler sans le dire, ou en le disant. Mais je l’ai senti comme cela. Le lendemain, elle m’a immédiatement demandé : — Tu t’es vraiment masturbé hier ?— Oui….— Tu sais, lorsque tu m’as dit que tu allais le faire, cela m’a beaucoup touchée. Tu l’as dit de façon si innocente…— J’avais envie d’être sincère et transparent. Tu t’es caressée aussi ?— Non mais j’en ai eu envie…— Tu en as encore envie actuellement ?— Oui…— J’aimerais que tu te masturbes maintenant…— (…) D’accord…. Je ne décrirai pas en détails toutes les séances de masturbation que nous avons vécues sur le Minitel. Mais j’adorais le naturel de Christine. Comme si tout cela allait de soi et que tout plaisir était bon à prendre… À chaque fois, nous nous racontions une histoire basée sur des couches culottes qu’elle mouillait. Mais nous parlions aussi de nous. Elle avait 23 ans (et moi 29 ans) et elle vivait encore chez ses parents. Son père, à cause de son métier, était souvent en voyage ou rentrait tard. Sa mère n’était pas toujours là, mais je ne me souviens plus pourquoi. C’est Christine qui proposa ...
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