Christine et nos jeux humides, première partie
Datte: 08/05/2020,
Catégories:
fh,
telnet,
volupté,
cérébral,
couche,
Masturbation
uro,
... finalement qu’on se téléphone. J’étais un peu ému à l’idée de lui parler, imaginant que nous allions rapidement sombrer dans l’excitation et la masturbation. Il n’en fut rien. Nous avons parlé de tout et de rien. De nos rencontres par Minitel, de nos activités respectives. J’adorais sa voix. C’était celle d’une vraie femme mais elle tenait un peu de la voix d’une fillette. Elle semblait sourire en permanence. Ce n’est que le deuxième ou troisième soir que nous avons abordé vocalement (et non plus sur le minitel) notre thème favori. Chacun d’entre nous avait quelque chose à avouer. À commencer par moi : — Mon truc, c’est plus le pipi culotte que la couche-culotte. La couche-culotte, je la vois plutôt comme un accessoire permettant de s’oublier en toute impunité dans n’importe quel lieu.— Un jour, j’ai fait pipi dans ma culotte dans les couloirs du métro, me dit-elle pour sa part. J’avais trop envie et je n’ai pas pu me retenir.— Etait-ce vraiment involontaire ?— Je ne sais pas trop. Peut-être partiellement volontaire…— Tu as tout fait ?— Non mais largement assez pour me soulager et pour que ça se voie. À la fois j’avais honte et à la fois j’y prenais un certain plaisir, mais pas un plaisir sexuel.— Quelle était la réaction des gens ?— Personne ne semblait noter mon état.— Tu as eu envie de te masturber ?— Je ne crois pas… Christine semblait parfois vouloir chercher à sauver encore un peu les apparences. Une attitude bien féminine que j’ai retrouvée encore plus marquée, ...
... quelques mois plus tard, avec une autre minitelliste amatrice de jeux humides. En fait, Christine m’avoua progressivement que ses jeux étaient plutôt volontaires. — Il m’arrive de faire pipi au lit exprès me dit-elle. J’ai une sorte de matelas éponge qui absorbe énormément et qui se lave facilement. Et parfois, lorsque je rentre chez moi avec une envie pressante, je ne prends pas le temps de baisser ma culotte ni même de m’asseoir sur les toilettes.— Et tu n’as jamais partagé ces petits jeux avec quelqu’un ?— J’ai eu un copain qui me regardait faire pipi en pleine nature, mais pas dans ma culotte. En toute dignité, je crois que je ne pourrais pas le faire devant quelqu’un, conclut-elle. Encore une petite phrase probablement destinée à sauver les apparences… Puis vint le jour de notre première masturbation téléphonique, qu’elle provoqua en me racontant une anecdote. Je crois qu’elle attendait cela impatiemment. — Avant toi, j’ai aussi connu sur minitel un amateur de pipi. Nous nous téléphonions aussi. Je n’ai jamais fait dans ma culotte, mais un jour il m’a demandé de faire dans mon lit… Elle marqua une longue pause en attendant ma réaction, qui ne vint pas. Puis elle ajouta, avec une voix tremblante et perdue dans le vide : — …. et … j’ai fait…— Tu as fait pipi au lit ?— Oui…— Tu avais une culotte ?— Non, j’étais nue.— Tu as envie de faire pipi, là ?— Oui !— Tu te branles en ce moment ?— Oui, lâcha-t-elle dans un souffle. J’appris plus tard que l’expression « se branler » avait le ...