1. Le pouvoir


    Datte: 08/05/2020, Catégories: fh, jeunes, Oral pénétratio, init,

    ... situation commençait à lui peser. Elle était très différente de Julie sur bien des points, et notamment son apparence. Elle était blonde et elle avait de petits seins. Très petits même. D’ailleurs elle raconta qu’une fois, regardant dans son corsage et y découvrant un bouton, une de ses amies lui répondit « ça s’appelle un sein ! ». Ce à quoi elles avaient beaucoup ri toutes les deux. La soirée se déroula de façon agréable, Antoine s’appliquant à rire à chacune des plaisanteries de Catherine. Puis ils se séparèrent sans fixer de nouveau rendez-vous. Antoine prit soin de demander à Julie, avant son départ, où habitait son amie. De cette façon il put facilement trouver dans l’annuaire son numéro de téléphone. Antoine et Julie se séparèrent sans effusion de larmes. Ils avaient passé de bons moments ensemble mais ils n’étaient pas amoureux l’un de l’autre. Ils convinrent de se donner des nouvelles de temps en temps. Mais Antoine pensait déjà à ses futures nouvelles conquêtes. Il appela donc sans tarder Catherine. Elle le reconnut tout de suite, ce qu’il interpréta comme un signe encourageant. Elle accepta sans difficulté le rendez-vous qu’il lui fixa. Cela mit Antoine en confiance un peu plus encore. Le jour dit, ils se retrouvèrent. Le plan se déroula sans accroc et ils eurent vite fait de se retrouver dans la chambre du jeune homme. Il ne ressentait pas pour Catherine la tendresse qu’il avait pour Julie. C’était pour lui uniquement un objet sexuel destiné à accroître son ...
    ... expérience. Lorsqu’elle se retrouva en culotte, Antoine fut repris de sa vieille vision. Il banda très fort en imaginant le sexe qu’il allait découvrir. Il se régalait par avance de la toison abondante, de la fente luisante et des petites lèvres ouvertes sur un vagin inondé. Il lui retira donc vivement sa culotte. Quelle ne fut pas sa déception ! Ou plutôt sa surprise, car il découvrait quelque chose qu’il n’attendait pas. C’était la première fois qu’il voyait le sexe d’une blonde. D’unevraie blonde. A la place de la toison noire abondante sous laquelle aurait dû pudiquement se dissimuler le sillon, il découvrit quelques poils blonds clairsemés qui ne cachaient rien du sexe de la demoiselle. La fente lui apparaissait clairement, nette et lisse. Il eut l’impression de voir le sexe d’une petite fille. Cela lui rappela la « mounette » de la fille de cinq ans des amis de la famille qu’il avait vue étant enfant, lors de vacances chez ses parents. Pour lui le sexe d’une femme c’était d’abord un triangle noir. Cette image lui venait des illustrations de son livre de sciences naturelles. Ce triangle noir qu’il avait si longuement regardé pendant ses séances de masturbation. Puis les poils noirs dépassant de la culotte de Charlotte, les premiers qu’il voyait, l’avaient conforté dans son imagerie érotique. Celle-ci avait été parachevée par Laure et Julie, toutes deux brunes. Et voila qu’il avait sous les yeux un sexe qu’on aurait dit imberbe tant les poils se confondaient avec la couleur de ...