Le pouvoir
Datte: 08/05/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
Oral
pénétratio,
init,
... la peau ! Un sexe de femme, c’est noir ! S’il n’y a pas de poils, c’est une petite fille ! Et il avait soif de femmes, pas de fillettes ! Il trouva donc une absence totale d’érotisme à ce sexe exposé. De plus, les petites lèvres portaient bien leur nom. Contrairement à ses deux autres références, celles de Catherine n’étaient pas larges et leurs bords étaient presque droits, pas ondulés. Sa déception n’en fut que plus grande. Il se tenait donc là, debout entre les jambes de Catherine allongée, perplexe et déçu. Elle écarta les cuisses. Il put voir alors que son sexe était mouillé. Cela raviva son excitation. Elle n’avait pas eu le temps de remarquer son changement d’attitude. Elle s’assit sur le lit et se pencha vers lui. Il sentit une main se poser sur ses couilles. Cela lui donna un coup de fouet dans la queue, qui se redressa immédiatement. Une autre la saisit à la base. Antoine baissa les yeux et vit la tête de Catherine s’approcher de son sexe tendu vers elle. Il comprit alors qu’il allait recevoir sa première fellation. Il sentit bientôt une langue sur son gland. C’était chaud, c’était humide et surtout c’était très doux. La langue passa de chaque côté, descendit sur le corps. La main faisait le même mouvement quelques centimètres derrière. Elle releva sa queue. La langue vint lécher ses couilles. Puis elle remonta, pointue, le long de la colonne de chair dressée. Elle arriva enfin sur le frein. Il reçut une nouvelle décharge de plaisir. Que cet endroit était ...
... sensible, que c’était bon quand on le touchait ! Catherine ne devait pas en être à sa première fellation. Elle savait comment donner du plaisir à un homme. Elle entreprit donc de titiller avec sa langue ce petit point magique. Antoine sentait le sperme gronder au fond de ses couilles. Puis d’un coup elle mit tout le gland dans sa bouche. Elle commença un va-et-vient, en enfonçant plus profondément la queue à chaque passage. Antoine découvrait les sensations de la fellation. La bouche de Catherine était aussi douce que le vagin de Julie. La même chaleur, la même humidité, la même douceur. À ceci près que ces lèvres-là lui enserraient la queue plus vigoureusement que celles du bas ventre. Il était aux anges. Sa déception initiale était oubliée. Catherine le pompait vigoureusement de la bouche et de la main. Elle accéléra le mouvement. Il eut juste le temps de crier « attention ! » et il éjacula dans la gorge de sa conquête. Elle dégagea sa tête, arbora un sourire radieux et dit : « Ouh, ça faisait longtemps ! J’avais oublié le goût ». Antoine fut surpris d’une réaction aussi positive. Il avait eu peur que d’une part cette éjaculation prématurée ne lui déplaise, comme à Laure, et que d’autre part elle en soit dégoûtée. Mais, bien au contraire, elle était ravie. Elle s’allongea sur le lit à nouveau et écarta largement les cuisses. Son sexe ruisselait littéralement. Manifestement la fellation lui avait produit beaucoup d’effet à elle aussi. Elle regarda Antoine, toujours avec son grand ...