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Un parfum d'autrefois (10)
Datte: 09/05/2020, Catégories: fh, hplusag, couplus, extracon, Inceste / Tabou hotel, init,
... je faisais jouir sans jamais leur céder ma chatte. Rodolphe fit croire qu’ils avaient décidé de s’en aller séparément pour que personne ne les suive. Il partit donc seul en voiture et je le retrouvai plus loin. Il m’expliqua qu’une solution de rechange avait été prévue pour le cas où le lieu de leur chambre nuptiale serait découvert. C’est dans cet abri secret qu’il me proposait de m’emmener pour me faire femme. C’était un bel hôtel style petit château perdu dans la campagne, dans lequel il me dit avoir loué une suite. À cette heure, les propriétaires étaient couchés, mais il avait les clés. Nous fîmes le moins de bruit possible pour ne pas de les réveiller. Je croyais que mon cousin voulait surtout éviter de leur fournir des explications sur le changement de mariée. Ce qui, mais je ne le savais pas, ne les aurait pas forcément choqués. Je te dirai pourquoi par la suite. Enfin, nous arrivâmes sans encombre et sans bruit dans le salon attenant à la chambre. La tension ressentie pendant notre progression dans l’hôtel, la peur d’être découverts ajoutèrent sans aucun doute à mon excitation qui était déjà très forte car, durant le voyage en voiture, nous avions bien entamé les préliminaires. Conduisant d’une main, il m’avait longuement caressé la chatte, introduisant ses doigts dans mon vagin trempé de mouille, massant mon clito avec art, au point de me faire jouir dans ses doigts. Puis, au risque d’un accident, c’est moi qui, après avoir sorti sa bite toute bandée, lui avait ...
... prouvé mes talents de fellatrice. Je m’étais acharnée à le chauffer un maximum, mais sans jamais l’amener à éjaculer, car je voulais garder sa semence pour ma chatte ! Sans compter que jouir en conduisant aurait pu nous amener à provoquer un accident, même si Rodolphe conduisait très prudemment pendant tout le temps où je lui prodiguais ma caresse buccale. Bref, nous étions tous les deux totalement chauds et impatients de " conclure ". Aussi, dès la porte d’entrée refermée sans bruit, je me précipitai pour dégrafer le pantalon et baisser le slip découvrant le sexe triomphant de mon cousin qui se jeta sur moi. Ma minijupe n’était pas un obstacle, et le string fut écarté sans problème pour offrir ma petite chatte à sa concupiscence. Appuyée contre le mur, je subis avec délice l’assaut de mon bel amant qui n’eut aucune peine à faire entrer sa queue dans mon intimité. Enfin ! Quel bonheur ! Cela faisait huit ans que j’attendais ce moment. Depuis que j’avais vu sa magnifique queue cracher son sperme dans le foin de la grange ! J’eus la présence d’esprit de crier un " Aïe " un peu sonore, bien que je n’eus rien senti, évidemment. Il fallait bien que je gomme un peu les dégâts qu’avait commis cette salope de Mademoiselle Hortense. J’eus l’impression que, tout à son excitation, mon cousin faisait à peine attention à ce détail. Il me prit d’ailleurs instantanément les fesses à deux mains et se mit à me baiser avec ardeur. Dieu ! qu’elle était bonne cette bite dans ma petite chatte presque ...