1. Un parfum d'autrefois (10)


    Datte: 09/05/2020, Catégories: fh, hplusag, couplus, extracon, Inceste / Tabou hotel, init,

    Vincent continue à écouter les souvenirs de jeunesse de sa charmante logeuse… […] Même si Mademoiselle Hortense avait fait craquer mon hymen, ce n’était pas un véritable dépucelage. C’était comme si cela s’était produit de façon fortuite ou accidentelle. Il paraît que ça arrive systématiquement aux filles qui pratiquent le grand écart, en gym par exemple. Dans ma tête, j’étais toujours vierge. Comme je te l’ai dit, j’avais choisi depuis longtemps celui qui devait me rendre femme. C’est pourquoi je n’avais jamais consenti à me laisser pénétrer par un sexe masculin, même en me livrant à des jeux sexuels poussés. Ma patience fut enfin récompensée. Et même si les circonstances furent tout à fait rocambolesques, j’en ai gardé, crois-moi, un excellent souvenir. Comme je te l’ai dit, mon cousin Rodolphe avait été le compagnon principal de mes jeux pervers pendant ma petite enfance. Nous ne faisions rien de bien important, bien sûr, mais il aimait bien mettre ses doigts dans ma petite fente et il me demandait toujours de caresser son sexe qu’il appelait " sa quéquette ". Encore une fois, c’est un souvenir qui m’émeut toujours, même avant qu’il n’ait des poils (signe que nous attendions tous et qui marquait, sans que nous le sachions vraiment, le passage à la maturité sexuelle), et son sexe se raidissait quand je le prenais dans ma main. Il ne bandait pas vraiment, mais sa quéquette s’allongeait, se redressait, et devenait assez dure quand même. Surtout quand je passais mes doigts ...
    ... sur le bout, autour du petit gland. Une année, il me montra un nouveau jeu. Il se coucha sur moi et frotta son sexe contre ma fente. Il avait dû voir faire des adultes, mais pas suffisamment pour tout comprendre. Il ne chercha pas à me pénétrer, mais le frottement de sa petite bite contre mon petit clito me procura une sensation de bien-être intense, et je lui réclamais souvent de le faire. Nous disions que nous faisions l’amour. Puis, pendant deux ou trois ans, je ne l’ai pas revu. Quand nous nous sommes retrouvés, il était devenu un bel adolescent. Hélas ! moi je n’étais encore qu’une gamine ! Mes seins commençaient à bourgeonner mais, à la fourche de mes cuisses, il n’y avait toujours pas l’ombre d’un poil. Quand nous fûmes seuls, je lui proposai de reprendre nos jeux. Il semblait gêné. Après quelques hésitations il fut d’accord pour que nous nous montrions ce que nous avions dans nos culottes. Je fus vraiment surprise de la transformation qui s’était opérée en lui. D’abord, il avait des poils. Quelle chance il avait ! Le prestige que je lui attribuai d’emblée était à la hauteur de l’idée que je m’en faisais. Mais de plus sa « quéquette » était devenue une vraie belle bite qui, quand je la pris dans la main, se dressa fièrement, dure et grosse. Cette fois, il bandait vraiment. Je lui demandai de venir sur moi pour le frotter sur ma fente, comme autrefois, mais il refusa. Il me dit qu’il ne fallait pas. Que maintenant son sexe était trop gros en comparaison du mien et qu’il ...
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