1. Les lettres d’une libertine – Entre des mains de fer (1/1)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... douleur devint chaleur, et celle-ci couvrit celle qui enflammait mon rectum se contractant à chaque frappe de la main. Enfin, la douleur laissa la place à un mélange étrange fait de crainte et de plaisir. Je ne luttais plus vraiment et m’attachais à tenter de recracher la boule de nylon avec ma langue pour mieux respirer et caler mes expirations sur le mouvement de métronome de la main de la voix. Ce fut sourd, intense et bien mystérieux mais toujours est-il qu’un orgasme presque imprévu ou impossible vient me cueillir lorsque la main dérapa et que les bouts de doigts vinrent frapper mes lèvres et riper jusqu’au capuchon. Mon fessier avait des spasmes et je me mis à couler d’un seul coup. Ce fut un acte libératoire, mon bourreau stoppa net son geste, certainement pour admirer son œuvre. Il me retira avec délicatesse la chose insérée dans mon fessier en feu, puis se saisi de la boule de nylon que j’avais presque réussi à évacuer de ma bouche. Celle-ci ouverte et bavant expulsa alors le mot … « frissons ». Mon cerveau reprenait ainsi le contrôle et demandait l’arrêt immédiat des jeux alors que mon corps subissait encore les ondes du plaisir libéré. Je fus détachée sans un ...
    ... mot, essuyée avec délicatesse et remise sur mes pieds. Des mains m’ont soutenue et recouverte de mon manteau. Quelques messes basses accompagnèrent notre trajet inverse que je reconnu. Une porte que l’on ouvre, on me penche la tête de la paume de la main et l’on m’invite à m’assoir. Le moteur tourne. La porte claque, la voiture démarre lentement, comme à regret. « Tu as pris toutes mes affaires » lui demandais-je, le bandeau encore sur les yeux. « Oui » - Un simple oui neutre. J’appris plus tard en me renseignant, que cette fameuse punition des domestiques anglaises consistait en l’introduction d’une racine de gingembre fraichement pelée dans leur anus en guise de plug et que c’est le jus de la plante qui provoquait cette sensation de chaleur intense. La pratique se nomme « figging » et était accompagnée d’une fessée déculottée délivrée à la main ou à la badine. Il est fait mention d’orgasmes spontanés, en cette occasion donnant lieu de croire au bourreau que la victime appréciait particulièrement le traitement. Mon anus, quand à lui, s’en souvint durant près de 72h, me laissant cette sensation si particulière d’avoir été baisée et limée durant des heures par cet orifice ! 
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