Une soirée plus que parmi d'autres - Histoires de Sexe

Une soirée plus que parmi d'autres

... qu’il se vexe et qu’il me coupe l’accès à sa femme. C’est déjà bien beau qu’il prête sa femme. Même si pour l’instant, ce fut très plan-plan lors des précédents partages. J’imagine très bien le pauvre scénario : une sucette, un coït et bye-bye… Alain me fait remarquer : — C’est pourtant ce que vous venez de faire avec elle…— Exact, je viens de l’utiliser comme une vraie pute, mais pas au début. Ces hommes n’ont pas fait prendre conscience à votre femme qu’elle pouvait être une belle et adorable salope. Et qu’elle est douée pour ça, mais il faut la guider pour ça, l’initier un peu. Mais elle est douée. Visiblement très satisfait de mon diagnostic, Alain hoche la tête ; Francine a toujours cette lueur dans les yeux. Je l’aide à se relever pour la prendre dans mes bras, mon corps collé au sien, ses douces courbes contre mes reliefs anguleux. Je lui dis simplement : — Vous m’excitez énormément, et vous le savez.— Oui… je… je le sais.— Un homme qui vous désire est à la fois un gentleman et un salaud. Il vous chérit et en même temps, il vous traite en traînée, car le désir a deux faces, une claire et une sombre. L’excitation existe dans les deux cas, et il n’y a aucune honte à avoir quand il s’agit de plaisir.— Si vous le dites…— Et je vais me faire un plaisir de vous le prouver… car vous êtes une femme capable de profiter de ces deux faces et d’en jouir sans complexe ! Elle pousse un petit cri quand je la soulève dans mes bras. Elle enlace néanmoins mon cou, intriguée de la ...

... tournure des événements. Je lui envoie l’un de mes plus beaux sourires : — Et vous êtes à moi, rien qu’à moi ! Maintenant, je vais vous faire voir l’autre façon d’à quel point vous m’excitez ! Mon précieux fardeau dans les bras, je m’assieds dans le canapé, et son corps nu contre le mien, je commence à la peloter, à la caresser et à l’embrasser partout ; elle apprécie vivement ces diverses marques d’intérêt pour sa petite personne, au grand ravissement de son mari qui nous regarde folâtrer impudiquement sous son nez. Puis un peu plus tard, nous décidons de nous restaurer un peu. Je constate au passage que ma chère femme se déchaîne avec son Dominique. Elle est en train d’essayer depuis tout à l’heure diverses positions, et ses cris de ravissement ne sont pas feints, j’en sais quelque chose. Tant mieux pour elle ! Puis une fois restaurés, nous revenons tous les trois dans notre coin. — Passons à la suite, chère Francine, comme vous me le demandiez tout à l’heure…— J’ai dit ça ? Je prends une chaise, et avant de m’asseoir dessus, je pose un préservatif sur ma queue. J’aurais pu le demander à ma partenaire, mais ce sera pour une autre fois, pour un autre jeu. Ceci fait, je m’assieds sur cette chaise, bien calé dessus, mon sexe érigé vers le plafond. Le désignant, je dis : — Asseyez-vous dessus, Francine.— M-m’asseoir sur votre… ?— Oui, vous asseoir sur ma queue, ma bite, tout autre mot désignant mon sexe, ma verge, mon phallus et j’en passe. Elle jette un coup d’œil à son mari, ...