1. Une soirée plus que parmi d'autres


    Datte: 10/05/2020, Catégories: fh, grp, couplus, cocus, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral préservati, pénétratio, initfh, couple+h,

    ... celui-ci lui fait signe de s’exécuter. Curieux couple quand même. Timidement, elle s’approche de moi, elle pose ses mains sur mes épaules, enjambe mes cuisses de part et d’autre de la chaise. J’en profite pour lui capturer les hanches. Mais aussitôt, je ne peux m’empêcher de la caresser et de profiter de ses courbes. — Asseyez-vous lentement afin de bien sentir ma queue entrer en vous. C’est vous qui allez contrôler l’effet de mon dard en vous. C’est vous qui allez prendre votre plaisir en remuant dessus.— Vous voulez que je… ?— Oui, à vous de prendre l’initiative. Vous aimez faire plaisir à votre mari, n’est-ce pas. Mais il s’agit aussi de vous faire plaisir. Conjuguons les deux. Je saisis ses fesses, les écartant pour que son mari, situé derrière elle, puisse mieux voir. Je continue mon argumentation : — En prenant l’initiative de vous empaler sur ma verge, vous décuplerez le plaisir de votre mari. Elle se tourne vers son époux, mes mains sur mes épaules : — C’est vrai, Alain ?— Oui, c’est vrai, ma chérie… Rougissante, elle ne répond rien. Elle ne semble pas avoir l’habitude de prendre les devants, en femme passive qu’elle semble être. Elle sait marivauder, aguicher aussi, mais elle se laisse faire ensuite. Il serait bon qu’elle devienne plus active. Je reconnais qu’une femme soumise, c’est bien de temps à autre, je dirais même que c’est valorisant pour l’orgueil du mâle. Mais tout le temps, c’est lassant. Ses mains toujours sur mes épaules, elle se décide à fléchir des ...
    ... genoux. Durant sa descente, je maintiens fermement ses fesses entre mes mains, la soutenant partiellement et la guidant vers ce pieu sur lequel elle s’empalera bientôt. Mon gland vient cogner sur une lèvre, je rectifie le tir afin que celui-ci se cale dans sa fente. Ceci fait, je relâche un peu mon soutien, ce qui fait qu’elle s’embroche à présent sur le bout de ma verge qui disparaît un peu en elle. Francine frémit, elle joue du bassin pour trouver son bon angle, puis elle se laisse aller doucement. Je crois deviner qu’elle aimerait dire quelque chose, mais qu’elle n’ose pas. — Francine, je veux que vous me disiez tout ce qui vous passe par la tête, je veux savoir ce que vous ressentez, le plaisir, le désir, les fantasmes, les idées folles, tout !— Je… je ne sais pas si je vais oser…— Osez, Francine, osez, plus rien ne s’oppose à la nuit, rien ne justifie, usez vos souliers, usez l’usurier soyez ma muse, et que ne durent que les moments doux…— C’est de vous ? Ça me dit quelque chose…— Non, pas de moi, c’est de Bashung, Alain Bashung. Moi, ce que je veux, c’est que vous osiez !— O-oui… Elle s’affaisse un peu plus sur ma bite qui est rentrée en elle à mi-course. Elle gémit doucement : — C’est bon…— Très bien, dites ce que vous pensez, ce qui vous traverse l’esprit.— Je… j’aime… Les yeux fermés, elle continue de s’enfoncer sur ma verge, lentement, chaque centimètre entre petit à petit. Elle ondule du bassin comme pour mieux ressentir cet intrus qui la perfore graduellement. Ma ...
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