1. Avec le tilleul


    Datte: 10/05/2020, Catégories: f, bizarre, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation uro, scato, zoo, fouetfesse, orties, délire, humour, nature,

    Rosyne mit le nez à la fenêtre. Le soleil l’invita à sortir. Elle avait mis sa robe bleue et elle sentait enfin que l’été allait s’installer définitivement. Elle s’avança sur les dalles qui bordaient le jardin, puis elle foula l’herbe que la rosée avait régénérée. Elle quitta ses chaussures et la fraîcheur de la pelouse lui procura une réelle émotion. Elle posait tantôt le talon délicatement, tantôt les orteils comme pour faire des pointes. Elle ne comprenait pas pourquoi tout son corps était en émoi. Le simple fait de marcher pour la première fois de l’année sur cette herbe tiède lui donnait un plaisir intense. Elle avait le cœur qui battait. Elle n’osait jamais se mettre nue à la plage malgré l’insistance de Bernard, son copain, et même de sa sœur (quelle délurée celle-là !), mais sous ce ciel magique, elle laissa tomber en quelques secondes robe et dessous. Une haie de thuyas la protégeait des regards les plus perçants. Rosyne roula sur le gazon avec ravissement. Elle s’arrêta haletante. Des brins d’herbe se mélangeaient à sa toison qu’elle avait drue et brune. Il lui sembla que des touffes lui poussaient sur les jambes. Une feuille morte se glissa entre ses fesses et lui caressa l’anus, un feuille de rose de l’an dernier. Au fond du jardin bien entretenu, une lande de terre avait été laissée en friche. Y poussaient toute sorte de plantes sauvages. Rosyne s’aventura vers cet endroit plus frais et plus inhospitalier. De fait, elle ressentit aussitôt la piqûre franche ...
    ... d’une ortie sur ses cuisses. Une petite douleur qui l’excita davantage. Elle y retourna et c’est tout son ventre qui prit un couleur rouge piquetée de points blancs. Les orties avaient tellement affolé ses sens qu’elle partit à la recherche du prince chardon. Mais ce n’est pas tous les jours conte de fée. Introuvable le chardon… Néanmoins, la jeune femme prenait tant de plaisir qu’elle savait bien qu’elle mouillait. Elle vérifia le fait avec une satisfaction qui l’étonna. Et c’est alors qu’elle découvrit une fourmilière. Elle décida de s’asseoir dessus. L’orgasme vint presque aussitôt. Elle se fit peloter, doigter, pincer, baiser, sodomiser, fister par des centaines d’insectes qui parcouraient son corps dans tous les sens. Rosyne pensa que Bernard ne lui avait jamais procuré autant de spasmes. Un peu de honte ajoutait encore au bonheur infini qu’elle ressentait. Oui, la honte comme source de plaisir ; elle n’avait jamais pensé à ça. Elle se leva pour s’appuyer contre un arbre ; elle ne tenait plus debout. Mais l’écorce du tilleul lui fournit une nouvelle excitation. Elle pressa le tronc entre ses jambes et trouva au bon endroit une saillie qui la pénétra. Elle cria sans pouvoir se retenir. Elle tremblait de tous ses membres et l’arbre lui-même était secoué. Les fourmis continuaient leur infatigable tâche et s’activaient particulièrement sur ses fesses. Elle s’écroula après un nouvel orgasme au pied de son arbre. Et dire que l’on prétend que prendre un tilleul ça calme ! Rosyne ...
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