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Ma tante de 45 ans est sublime (13)
Datte: 10/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... m’exciter, elle ne s’y serait pas prise autrement. — Bonjour Chantal. — Ah je ne t’avais pas vu ! Bonjour Jean. Nous nous fîmes la bise, précaution oblige. Ma tante me proposa en chemin de prendre un pot dans un salon de thé situé dans un parc. L’endroit fut magnifique. Sur le chemin menant au salon, entre deux allées je pris ma tante par la taille, elle m’offrit ses lèvres tout naturellement. Je goûtai à nouveau aux délices intérieurs de sa bouche somptueuse. Chantal me caressa la nuque tandis que je la serrai contre moi. Notre baiser fut court et me fit un effet immédiat. Nous nous arrêtâmes d’un commun accord et nous allâmes nous installer. Tandis que je terminai mon café, j’entamai la conversation sur ce fameux mensonge. — Pourquoi tu ne m’as rien dit sur ton âge ? — Quelle importance... — Alors ma tante a 40 ans, enfin presque ! — Eh oui et cette fois-ci, c’est vrai. — Mais tu es une jeunette, on a 20 ans d’écart. — C’est énorme entre une femme et un homme plus jeune dans notre cas. — Oui enfin avec toi...c’est différent. Et il faut que je te fasse un cadeau. — En quoi est-ce différent ? — Tu en parais 30 et on m’a plusieurs fois pris pour ton frère ou ton ami. — Tiens donc ! On te prend pour mon frère... — Forcément, tu en parais 30 et moi et mes amis me donnent 25 ans, donc... — Jean, on ne va pas vivre ensemble ? — Dans nos rêves ma tante à moi. — Et ce cadeau mon chéri ? — Je ne vais pas t’offrir une bague ! — Ne me dis pas que c’est un plumeau ? — Oh quelle idée ...
... et ça t’avait plu je crois. — Assez mon cher neveu, assez... Ma tante commença à se lâcher et me prit par le bras en rentrant. Nous passâmes chez son traiteur et ensuite chez des amis pour récupérer des chaises pour les convives. Cela nous prit toute l’après-midi. Une fois dans la voiture, une petite caresse furtive sur la peau douce de sa cuisse lui rappela à son bon souvenir nos moments intimes. Ma main glissa sur cette peau claire, si lisse comme l’eau qui glisse sur le plumage d’un canard. Sensation exquise. — Jean, j’ai eu ta mère et elle m’a dit que tu devais me remonter le moral. — Mais j’y compte bien ma tante. — C’est très agréable de sentir à nouveau ta main sur moi... Je regardai ma tante en train de conduire. Elle avait toujours son profil séduisant, sa nuque élancée, ses lèvres si bien dessinées. En fait, je n’avais qu’une envie, la croquer (!). Mais il me fallut me comporter en adulte et la laisser venir à moi. Une fois les chaises stockées dans le garage, ma tante me proposa un apéro bien mérité. Je m’installai dans le canapé, Chantal dans son fauteuil. — Oups, j’ai oublié que tu aimais me caresser les pieds ! — Ce n’est rien, tu vas me prendre pour un obsédé. Lui dis-je totalement frustré. — Je vois à ta tête que tu aimerais que je me mette près de toi. — Ah tu lis dans mes pensées comme on dit. — Bon, je viens près de mon chéri. Me répondit Chantal un brin joyeuse. Elle s’installa près de moi et se déchaussa tout en restant assise. J’eus cette impression ...