1. Ma tante de 45 ans est sublime (13)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... transe. — Oui mon amour ! Continue, je jouis avec toi, c’est si merveilleux. Continue... — Comme j’aime te baiser ma belle Chantal ! — Et comme j’aime me faire baiser par toi... rajouta-t-elle avec cette fois avec un regard rempli d’allégresse. Mes spasmes s’espacèrent et je continuai à sucer les pieds fins de ma tante, réunis sur mon torse. Chantal de son côté garda mon doigt, en faisant glisser ses lèvres sensuellement. Nous savourions notre orgasme commun, nous échangions des sourires subtils, ce fut comme si Chantal me remerciait du plaisir que je lui avais procuré. Mais dans son regard, je devinais aussi sa fierté de m’avoir mis dans cet état. Je restai en elle, je dégustai ma tante en caressant ses jambes longilignes. Elle me dégustait en me savourant en elle. Il faut bien avouer que notre accouplement fut ce jour de septembre purement sexuel. Notre attirance mutuelle atteignît un degré ultime dans notre relation incestueuse. Je me retirai de la chaleur de ma tante, une chaleur si fantastique bien difficile à narrer sans l’abus de superlatifs. Immédiatement, ses lèvres amoureuses rejoignirent les miennes pour s’accoler dans un baiser paresseux accompagné par nos langues affamées. Le temps ne nous étant pas compté, ce baiser fut long, sorte de conclusion à notre ...
    ... coït infernal entre ma tante et moi. Avec le recul, je ne connus aucune partenaire à sa hauteur sur le plan sexuel. Le lendemain soir, la fête battît son plein. Mes parents rigolèrent de mes blagues, nous fûmes environ une trentaine à partager cet anniversaire. L’absence d’Andrew ne se fit guère remarquer, personne ne posa de questions à Chantal, tout le monde connaissant la situation. Ma tante resta éloignée toute la soirée, ce fut notre décision. Le gâteau comporta 45 bougies sous l’œil amusé de Chantal qui me jeta un bref regard. Je lui offris un foulard de marque mais j’aurais préféré deux billets d’avion pour partir au bout du monde... Le champagne coula à flots et vers deux heures du matin, plusieurs convives prirent le chemin du départ. Vue l’heure tardive, nous nous accordâmes qu’une grasse matinée serait la bienvenue. Je regagnai le bureau d’Andrew aménagé à l’aide d’un lit de camp, tandis que ma mère aida ma tante à faire un peu le propre au milieu de ces bouteilles abandonnées et de ces flûtes égarées. Mes parents montèrent se coucher, ma tante les suivit. Je surpris brièvement un brin de conversation entre ma mère et ma tante, lui suggérant que le divorce était de mise en jugeant cette situation intolérable. Je pensai de mon côté, quatre années s’écoulent vite... 
«12...12131415»