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Pute à l occasion
Datte: 11/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
Il faut prendre des fois le taureau par les cornes. La rentrées'annonçait sous de mauvais auspices. Mon époux faisant montre demauvaise volonté. Je devais une fois de plus m'y coller. Notammentm'assurer que chaque difficulté serait surmontée pour les enfants. Ainsiun de mes fils étudiant ne pouvait conserver son studio en centre-villequi pour parti l'avait bien disposé pour les études. Il me demandad'intervenir auprès du propriétaire. Ce dernier avait projet de vendre.Plein aux as, il ne s'agissait que de spéculation. Il me fallaitcirconvenir ce millionnaire.J'eus le monsieur au téléphone lequel fut désagréable. Il me signifia lepeu de cas qu'il faisait du destin de mon fils. Il n'avait cure de sesdiplômes. Je perçus le ressentiment du vieux contre les jeunes. Ilfallait avec ce type de zozo user des grands moyens. Rien ne supplée leréel et la confrontation directe. Je décidais d'aller sonner chez lemonsieur. Je savais que l'abruti avait soixante-dix ans et était veuf.Mon fils ne l'avait pratiqué qu'au téléphone et par courriel. Il pouvaitpeu m'en dire. J'étais à tâtonner et à me résoudre à l'improvisation cequi me convenait.Il s'agissait d'un mâle. Avec ce sexe j'usais souvent de même. Droit aubut. Il n'était pas exclu cependant qu'il fut pédé ou eut du rejet pourles femmes. Je me savais plaire aux hommes et en exciter grand nombre. Aquarante ans je ne dédaignais pas d'arborer souvent la mini jupe. Jefaisais fi des commentaires. Les autres femmes pouvaient me trouvervulgaire ...
... voire me traiter de pute. Cela m'importait peu. Mes amantsétaient jeunes. Je pouvais cependant à l’occasion forniquer avec desvieux. Dans mon boulot c'était courant. Des collègues en avaient profité.J'étais résolu à faire du charme à un imbécile dont je savais si peu dechose. Aussi eu-je comme une boule au ventre. Il me parut que je pouvaisêtre déçue et échouer. Peut-être devais-je me résoudre à trouverd'urgence une autre location pour mon fils. J'en savais toute ladifficulté à pareille période. Néanmoins je me confectionnais uneapparence offensive : un maquillage limite outré, une robe légère desplus courtes et des sandales à talons haut avec le parfum requis quisubjugue souvent les mâles. Il faisait beau en ce mois de septembre.Il devait être dix heures lorsque je sonnais. Je mesurais à présentl’impertinence de ma démarche. J'eus presque voulu que personnen'ouvrit. Au bout de la troisième tentative j'étais prête à tourner lestalons. Je pestais contre moi de ma mauvaise idée lorsqu'une voixchevrotante se fit entendre dans l'interphone. Je m'annonçais puis il yeût silence. Levant la tête je vis un rideau de fenêtre frémir. Ondevait là-haut me considérer. J'envisageais l'échec. Le silenceperdurait. Je ne pouvais décemment insister. Était-ce une fin de non-recevoir ?Puis de nouveau grésillement à l'interphone. On me signifiait qu'onallait m'ouvrir. Déclic dans la porte que je pus pousser. Il faisaitsombre dans le vestibule. Heureusement un raie de lumière indiquait qu'àl'étage ...