1. Pute à l occasion


    Datte: 11/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... craint undébut d'apoplexie. Je triomphais. J'enlevais prestement la culotte auxtoilettes. Chatte à l'air je devins du coup insatiable. Prise à monpropre jeu je n'avais de cesse qu'on me prit. Garce invétérée j'étais.La conversation roulait sur des banalités. Il était acquis que mon filsdemeurait dans l'appartement. En effet le vicieux m'avoua qu'il avaitdessein d'en vendre un autre. Il avait plusieurs cordes à son arc. Puisil ajouta : j'aime complaire à une jolie femme. A ce trait vulgaire jecrus devoir répondre par un geste. Celui d'écarter à ce moment lescuisses afin qu'il vit que mon string avait disparu. Il y eût comme uneinterruption dans le débit de la conversation. Il y eût un silence. Unange passait. Il ne pouvait qu’interpréter d’une façon mon geste. Ilavait affaire à une salope.Parlant du métier de mon mari, nous découvrîmes qu'il l'avait lui aussipratiqué. Il avait en effet bourlingué et travaillé pour une compagniede pétrole. Je ne lui cachais pas que je trouvais pénible les absencesréitérées du mari. Façon de lui signifier que j'avais compensé cela pardes amants. Un moment je me levais faisant mine d'observer quelque choseà la fenêtre. Je marmonnais entre les dents: « Ma voiture est mal garée.Les places sont-elles payantes ici ? » Il s'approcha derrière moi. Jesentis son souffle sur ma nuque. Il dit : « N'ayez crainte. »Il m'avait enlacé comme je le désirais et m'embrassait sur le cou. Je melaissais faire fermant les yeux. Tant de fois avais-je fait ce geste ...
    ... dem'abandonner. Ses mains pétrissaient mes fesses. J'étais tout à lui. Sonton changeait. Le porc s'affichait en des propos graveleux. « PetiteSalope je te loue d'être venue. « Je veux complaire à ton fils. « Il netient qu'à toi que je sois gentil. » Peu après j'étais accroupie devantlui, le pantalon chu sur le sol. Je le suçais. Il avait la queue belleet vigoureuse pour un vieux. N'était-ce pas ma première bite à sucer cejour-là ?Sa bedaine et son poil dessus ne m'arrêtèrent pas. J'étais familière desvieux porcs. Mon patron notamment me prenait sur le bureau. Ils étaientexperts et connaissaient les corps de femme. Ainsi celui-ci commed'autres avec sa langue sut me faire jouir. Il me bouffa le cul et lachatte. J'étais à point. Prête à être fourragée en tous sens. Quasi nusnous poursuivîmes sur le divan. Il me besogna en levrette. Il avait unsacré coup de rein. Je ne m'attendais pas qu'à pareil âge il putdéployer tant de vigueur. Je n'étais pas mécontente d'être si bien payée.Avec le doigt il put s'assurer de la ductilité de mon anus. Il pouvaitentrer par là. Il me grogna dans l'oreille : »Hein t'aimes çà qu ont'encule ? «. En un râle je répondis : « Oui ! « Ses coups de boutoirétaient forcenés. Il éjacula peu après au fond de mon cul. Il répanditainsi le reste de son foutre . J'étais souillée, comblée. Après que jefis une toilette hâtive, il me prit par le bras et m'entraîna dans lachambre. Je dus subir l'orgie encore une heure. Cela contrevenait un peuà mes plans mais rien n'est ...