Retrouvailles
Datte: 12/05/2020,
Catégories:
fh,
couple,
volupté,
intermast,
Oral
pénétratio,
... lui se sent pris, tenu. Elle l’étreint, le retrousse, découvre l’ourlet de son mufle, perçoit le roulement des chairs noueuses qui glissent sous ses doigts. Saisi au bulbe, là où il est le plus nu, le plus exposé, le plus vulnérable, elle presse l’excroissance soyeuse, la protubérance spongieuse, lui soutire une inspiration de douleur mêlée de bien-être. Correspondance des formes qui s’emboîtent complémentaires, ajustement de leurs membres, dialogue de leurs pieds qui se cherchent. La peau se marbre, le rouge vient au visage, la chaleur se fait étouffante, la peau est moite, la sueur perle aux tempes, le désir pique les yeux. Lui, par elle engagé à s’introduire, lui en elle conduit, s’enfonçant lentement, plongeant obscurément. Elle l’aspirant, l’absorbant. Elle, investie, le cernant, l’enveloppant, l’emprisonnant. Englouti, elle le tient palpitant, lui presse les reins, le garde immobile. L’un dans l’autre, ils se conjuguent, joints, accolés, assemblés. Jonction qui célèbre leur union. Ils ne font qu’un. Soupir de béatitude, comblée à satiété, gorge pleine. Instants suspendus, le temps de reprendre souffle avant les grands déchaînements. Alors commence le balancement, le branle cadencé, la mesure régulière. Un battement alterné, imprimée invariablement. Une succion nonchalante, la libre circulation de leurs corps emboîtés. Le lent glissement sur la muqueuse qui se prête, s’ouvre et se referme, accepte cette ingérence. Il la chevauche, imprime invariablement le rythme ...
... scandé de ses allées-venues. Sous lui attentive, à l’écoute de son corps, elle suit la lente progression de son plaisir qui enfle. Elle le tient par les hanches. Il bouge comme une houle, forte, puissante. Elle, soulevée, emportée, genoux collés à ses flancs l’accompagne dans sa course. Son train se presse, l’allure s’accélère, les heurts se succèdent. Ses secousses la percutent. Chaque poussée est une attaque, une charge. Ses reins bondissent dans une course martelée. Elle fouillée, et lui se secouant pour la combler, toujours s’avançant, chargeant à chaque poussée, toujours insatisfait de son envahissement, sondant ses profondeurs, se ruant pour mieux la gorger, sans cesse à vouloir la remplir, la submerger. Lui en elle enfoncé, fort, grand, grave, gros, toujours la pénétrant, plongeant pour mieux se retirer, l’abandonnant pour mieux la reprendre. En elle, debout, il la fouille de son doigt victorieux, glorieux de la remplir, heureux de la rassasier. Il la gave de sa queue majestueuse. Qu’il se retire… elle le supplie , geignant de se sentir abandonnée, voulant toujours le sentir plus loin, voulant toujours le prendre, se l’approprier, toujours le posséder, et lui de s’engouffrer pour mieux la satisfaire, heureux de la contenter. Elle, soumise, abandonnée à sa puissance, débordée par son corps. Elle le serrant, en elle le tenant, le happant de sa bouche génitale, le suçant de ses grandes labiales, suffoquant sous son poids, hoquetant sous ses poussées. Elle gluante de plaisir, ...