1. Une fausse prude


    Datte: 12/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... m'as honorée comme un chef ! Après une brève période de repos, ils entamèrent un long 69 qui se termina par un nouveau coït, tant il est vrai que l'un et l'autre avaient gros appétit... ******* La période qui suivit mit un peu entre parenthèse l'aspect photographique au bénéfice de l'aspect érotique. Les deux amants se retrouvaient à l'atelier pour une séance de photos qui dérapait très vite vers un accouplement tumultueux. Paul photographiait Nathalie en train de se caresser des seins au clitoris ou dans des poses tellement suggestives que le photographe ne tardait pas à bander comme un âne. Le mari de Nathalie n'eut évidemment pas droit à voir ces images et dut se contenter de photos soft, quoique déshabillées. Mais la modèle comprit qu'il devenait prudent de ne plus se rendre aussi souvent à l'atelier si elle ne voulait pas éveiller les soupçons de son mari, d'autant qu'elle avait désormais moins envie de faire l'amour avec lui. Paul l'avait complètement désinhibée et elle n'hésitait plus à lui mettre le doigt dans l'anus pendant qu'il la besognait, quand elle ne demandait pas elle-même à être sodomisée. Les deux amants se retrouvaient donc chaque matin, quand le temps le permettait, au bord de la rivière, dans un coin tranquille où ils posaient leur serviette avant de forniquer et de se mettre à l'eau pour se laver. C'était un moment délicieux où ils pouvaient se parler, et Nathalie se laissait aller à un langage de plus en plus cru. Un matin, après avoir satisfait à ...
    ... leurs envies réciproques, Paul interrogea sa maîtresse alors qu'ils nageottaient dans l'eau de la rivière : - Tu es devenue une belle cochonne. Tu fais ça avec ton mari ? - Non, avec lui, je fais l'amour. Avec toi, je baise. - Et alors ? - C'est bon, très bon. J'avais besoin de ça. Je ne baisais pas assez. J'adore ça. - Tu n'as pas d'amant ? - Non. Sauf toi maintenant, gros cochon de baiseur. - Tu as un corps fait pour ça. Dès que je t'ai vue, j'ai pensé au cul. - Et moi, dès que j'ai vu ta queue, j'ai eu envie de la sucer. - Au fond, tu étais une cochonne non assumée. - C'est ça. Et tu sais ce qui ferait plaisir à la cochonne ? - Non. - Que tu la prennes là, dans l'eau. Et Nathalie se saisit du pénis de Paul, l'astiqua jusqu'à ce qu'il devienne dur et s'empala sur lui en suspension pendant qu'il lui soutenait les fesses. La sensation aquatique contre leur corps combinée avec les clapots de l'eau provoqués par leurs mouvements les fit très vite atteindre une jouissance fulgurante. Une de plus... ******** Un double événement vint toutefois interrompre cette frénésie érotique entre les deux amants. D'abord, Nathalie eut ses règles, ce qui la priva à la fois de baignade et de rapports sexuels satisfaisants. Ensuite, Lise, la fille de Nathalie, vint rendre visite à ses parents pour passer quelques jours en leur compagnie avant qu'ils ne ferment leur résidence secondaire et s'en retournent à leur domicile. Agée de 25 ans, Lise se trouvait en sixième année de médecine et passait pour ...
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