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L'amour d'un père (13)
Datte: 13/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... pattes, nous regardant avec envie. Je lui glisse un petit doigt dans le fion pour ne pas qu’elle se sente délaissée. Son corps réagit par un frisson. Tandis que je baise mes petites filles, le spectacle en face de moi est tout aussi bandant. Mes deux jeunes garçons sautent leur maman comme si leur vie en dépendait. L’expression de pur bonheur qui se lit sur leurs visages me comble de joie. Ils les aiment de tout leur cœur. Elles aussi, elles sont en extases. On dirait qu’elles ont attendu toute leur vie de devenir les chiennes soumises de leurs enfants. — Maman, maman, ton cul est si bon ! s’exclame Lucas. — Non, je ne suis pas ta mère. Je suis ta demi-sœur qui t’a porté, c’est tout. — Maman... — Tu n’as plus besoin de maman, maintenant. Tu es un homme. Dorénavant, je suis ta sœur, appelle-moi Angela. — Angela... — Oui, mon petit frère... Baise-moi comme tu baises tes autres sœurs. Montre-moi comment tu les prends. — Oui, Angela. Je vais te prendre. Je vais te montrer combien je suis devenu un homme ! — Oh oui ! Aaaaaaaaah ! Je suis si fière de toi, mon chéri ! De mon côté, je retourne dans le cul de Lily. Putain, elles sont aussi bonne l’une que l’autre. Angela est vraiment en transe. Elle regarde sa fille se faire sauter avec beaucoup d’attention. Soudain, elle se penche vers elle et l’embrasse. Je suis surpris : Lily se laisse faire. On dirait même qu’elle semble beaucoup apprécier d’échanger ce baiser avec sa mère. — Toi aussi, tu es ma sœur, lui dit Angela. Ma petite ...
... sœur adorée. Je t’aime. — Je t’aime aussi maman, répond Lily. Elles s’embrassent à nouveau. Décidément, une nouvelle idylle est née. Je sens que mon chaton va beaucoup abuser de ses enfants dans les semaines qui suivent. Je suis heureux pour elle. Ce n’était pas juste que Nancy puisse profiter des siens et pas elle. Nous continuons de copuler ainsi comme des animaux durant de longues minutes. Je me régale d’entendre les gémissements de mes quatre filles en chaleur. Cela m’excite énormément. Je change régulièrement de partenaire à chaque fois que je sens que celle que j’encule est proche de l’orgasme. Je joue ainsi avec leur frustration. C’est encore plus pénible pour elles de voir que leurs mères, elles, jouissent comme des folles sans retenue. Leurs enfants leur fait un bien monstrueux. Mes petites filles veulent connaître la même chose, la même délivrance, mais je le leur refuse. Quand je me retire de l’une, je prends un malin plaisir à regarder le cratère que j’ai fais de leurs culs. Ils sont tous les deux complètement dilatés, je me demande s’ils pourront se refermer un jour. Le pire, c’est qu’elles en réclament toujours plus, c’est dingue de voir combien elles aiment l’anal, cela me donne envie de les enculer encore plus fort. Je prends mon pied comme je l’ai rarement pris, je baise mes bébés comme si elles étaient mes choses. Elles sont à moi, je les ai faites, je peux en faire ce que je veux ; elles sont mes trous à bite perso. Erika gueule comme une chienne quand je la ...