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L'amour d'un père (13)
Datte: 13/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... défonce. Lily, elle, essaie de se retenir, elle se pince les lèvres, mais finit toujours par exploser au bout d’un moment. En face, mes deux petites femmes ont l’air de sacrées salopes soumises à la bite qui leur ramone l’anus. Mes fils en profitent un max. Lucas qui encule sa mère pour la première fois semble particulièrement aux anges, il est en train de devenir accro, j’en suis sûr. Tout deux font preuve d’une endurance admirable. Vu le nombre d’orgasmes qu’ont déjà eu leurs demi-sœurs, ils pourraient se laisser décharger en elles sans honte, au lieu de cela, ils persistent à les faire jouir encore et encore, comme si c’était la dernière fois de leur vie qu’ils pourraient les baiser et qu’ils voulaient en profiter. Lucas défonce Angela comme une véritable trainée. Il lui donne de violents coups de reins en l’agrippant par les hanches. Je n’ai jamais vu un homme avoir aussi faim d’un cul. Le corps de mon chaton se balance sous ses assauts, elle a tellement joui qu’elle ne sait plus où elle est. Elle est à moitié écroulée sur le ventre, à bout de force, à attendre que cela se termine tant elle en peut plus d’être inondée de plaisir. Nancy s’est redressée et Sébastien l’a prise dans ses bras pour la coller contre lui. Il l’embrasse tout en la baisant. Il en profite pour lui peloter les seins. Une de ses mains descend sur sa chatte, il lui caresse le clitoris avant de lui enfoncer deux doigts, cela provoque en elle un nouvel orgasme. De mon côté, je sens mon endurance arriver ...
... à son terme, je décide alors de donner à mes petites filles ce qu’elles veulent. Je commence par Erika. Je la prends par les hanches et lui lime le fion, elle est plus en chair que sa sœur. Elle gémit comme une chienne en manque de bite. Je l’attrape par les cheveux et lui donne des fessées, elle sourit comme si ce n’était qu’un jeu. — Tu es une sacrée petite salope, Erika, tu sais ça ? — Oui, mais je suis la salope de mon papa, me rétorque-t-elle. J’aurais bien envie de lui gicler dans l’anus, mais une fois encore, j’ai Lily à faire jouir après. J’augmente la cadence pour essayer de la finir. Je sens qu’elle n’en est plus très loin. Je m’enfonce en elle jusqu’aux couilles, elle semble adorer ça. Quand je lui gifle une nouvelle fois les fesses, je l’entends pousser un long cri de jouissance. Ça y est, elle a atteint le nirvana. Je continue de lui donner des coups de bassin, mais sentant les soubresauts de son cul qui cherchent à me traire, je préfère me retirer avant qu’il ne soit trop tard. Elle est sublime à regarder pendant l’orgasme, elle est si belle. — Oooh, papa... dit-elle, le souffle court, une fois sa vague de plaisir passée. — Tu as aimé ? — Oui. Salaud, tu m’as follement faite jouir... Lily ne dit rien, elle se contente de nous regarder, mais je sais à quel point elle est impatiente de connaitre le même bonheur — C’est ton tour ma chérie, lui dis-je. — C’est vrai ? Tu vas me faire jouir comme elle ? — Plus fort encore, mon trésor. — J’en ai tellement besoin... Je ...