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L'amour d'un père (13)
Datte: 13/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... m’enfonce dans son cul et la bourre comme ma chose. Cela m’excite de voir mon énorme queue disparaitre dans son minuscule petit anus. Je suis si bien en elle, les sensations sont incroyables. La pauvresse n’en peut tellement plus que ses bras n’arrivent plus à la supporter. Elle se laisse retomber sur le sol, le torse écrasé contre le carrelage. Elle crie à chaque coup de reins, elle va avoir du mal à s’assoir demain. — Aaah, papa, dit-elle. — Tu aimes ça, ma puce ? Elle ne répond pas, elle en a trop honte. — Dis-moi que tu aimes ça, ou je m’arrête et je jouis dans ta sœur. — Non ! Non ! J’aime ça ! — Je n’ai rien entendu, répète ! — J’aime être enculée ! — Tu aimes être enculée par la bite de ton papa ? — Oui... — Alors dit-le. Dit-le à ta mère. Elle tourne ses yeux vers sa mère qui est dans la même position qu’elle et lui dit : — Aaaah ! Maman, j’aime être enculée par la bite de mon papa ! C’est une perverse, elle fait sa timide, mais je sens que cela l’excite de se lâcher et d’enfin oser le dire à voix haute. — Dit-lui que tu es une salope. Elle rougit de honte de se faire sauter comme une pute devant sa propre mère qui la regarde, mais elle le fait quand-même : — Je suis une salope, maman, je suis désolée. Elle a les larmes aux yeux à la fois de bonheur et de gêne. — Ma chérie... fait Angela. — Dit-lui combien tu es une salope, ou je m’arrête ! crie-je. — Je suis une salope qui aime la bite ! J’aime être baisée ! J’aime être enculée ! Je suis désolée, maman, je suis ...
... désolée. — Raaah, tu es un vrai sac à foutre, Lily ! — Oui ! Je suis un sac à foutre ! Pitié ! Ne t’arrête pas, papa, je veux jouiiiiiiiiiiiiir ! Aaaaaaaaah ! Sur ces mots, elle est brutalement frappée d’un orgasme, comme si avoir dit toutes ces choses tout haut l’avait libérée d’un poids. Son corps tremble sous mes coups de bassins tandis qu’elle pousse un long râle qui n’en finit pas. Elle jouit sans aucune pudeur sous le regard de sa maman. Ses yeux implorent son pardon d’être une fille aussi perverse et débauchée. Elle a peur. Pour la rassurer, Angela tend ses lèvres vers les siennes et l’embrasse. Elle lui fait ainsi comprendre qu’il n’y a rien à excuser. — Je t’aime, ma chérie, lui dit-elle. Moi aussi je suis une salope. Nous sommes toutes les deux des salopes. — Maman... soupire-t-elle durant les derniers instants de son orgasme. Je me retire, satisfait de mon travail. Erika n’a pas bougé, je peux contempler une dernière fois les trous béants des culs de mes petites filles. Elles gisent au sol, épuisées, le sourire béat. J’ai eu beaucoup de mal à ne pas éjaculer dans Lily, mais j’ai envie de me finir autrement. Je veux les souiller en les couvrant de foutre toutes les deux. — Relevez-vous, mes petites chéries, leur dis-je alors en me remettant debout. Papa veut que vous l’aidiez à jouir. — Oh, pauvre papa chéri, fait Erika. On va bien s’occuper de toi pour te remercier d’avoir pris si bien soin de nous. Elle est la première à se remettre à genoux pour me sucer. Lily a ...