1. (Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 1


    Datte: 13/05/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... m’inquiéta alors, c'est que si, moi, qui ait l'habitude de la voir quelquefois porter des tenues aussi provocantes, je réagissais ainsi, pourquoi, eux, réagiraient-ils différemment ? De toute façon les dés étaient maintenant jetés, ils allaient bientôt être là.Toutefois je lui demandai de me préciser si, dans la mesure où lors de ces fameux vendredis elle partait toujours avant que je ne rentre et que j'étais couché lorsqu'elle rentrait vers 2 ou 3 heures du matin, elle était aussi provocante. Elle me répondit négligemment : « Ben oui, quelquefois ! ». Ce qui ne me rassura pas, loin de là.J'allais à la porte-fenêtre du salon qui donnait sur un étroit balcon. D'ici on dominait la rue devant l'immeuble qui longeait une place sur laquelle se trouvait une centaine de places de parking. Je les verrais arriver.Je ne pus m’empêcher de regarder mon épouse. Celle-ci me semblait alors bizarrement nerveuse, elle faisait les 100 pas, elle déplaçait les assiettes et les verres sur la table basse pour les remettre au même endroit une minute plus tard. Ce n'était pas la Joss que je connaissais habituellement, elle qui était toujours et en toutes circonstances si maîtresse d'elle-même.Soudain par la fenêtre je vis une voiture se garer sur le parking et deux hommes en descendre. Ils attendirent près de la voiture jusqu'à l'arrivée, quelques minutes plus tard, d'un second véhicule duquel descendirent également deux autres hommes. Ils échangèrent quelques mots puis entreprirent de traverser la ...
    ... chaussée.Je prévins mon épouse de leur arrivée.La sonnette retentit. Mon épouse décrocha:-Oui!-C'est nous!-Quatrième étage, porte à droite sur le palier.Elle provoqua l'ouverture de la porte d'entrée et se retourna vers moi. Elle me fixa d'un regard étrange, un regard plein d'incertitude, voire d'inquiétude, qui, d'un seul coup, me mit mal à l'aise.Sonnette. Elle ouvrit la porte palière.Les quatre gaillards entrèrent suivis par mon épouse qui les accompagna dans le salon.-Je vous présente mon mari, Didier et voici mes collègues, Gérard dont je t'ai déjà parlé, Guy, Jean-Luc et Denis.Je serrai la main de Gérard:- Ah! c'est vous dont les parents ont un pavillon à Wissant?-Oui effectivement. Mais mettons les choses au clair immédiatement, pas de « vous » entre nous, on se tutoie, le mari de notre Joss fait partie de la famille ».Les choses avaient le mérite d'être effectivement claires, manifestement ils s'étaient purement et simplement appropriés mon épouse.Je saluai les trois autres et comme toutes personnes qui découvrent de nouveaux lieux, ils s'intéressèrent à l'environnement de la pièce, la décoration, le tout accompagné de quelques phrases polies.Puis mon épouse les invita à s'installer. Elle plaça Gérard dans le fauteuil faisant face à la fenêtre, elle se réserva la place dans le canapé 2 places du côté de Gérard, mit Guy à sa gauche puis les deux derniers dans le canapé 3 places. Pour ma part, il me restait le fauteuil côté fenêtre.Puis elle me demanda de bien vouloir ...
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