1. (Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 1


    Datte: 13/05/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... faire le service, ce que je fis en demandant à chacun ce qu'il voulait boire.L'ambiance fut immédiatement décontractée et sympathique, ce qui n'était pas étonnant avec des gens du nord qui sont connus pour être des personnes abordables et ouvertes aux autres.La soirée débutait donc sous les meilleurs hospices. Au fur et à mesure qu'on avançait dans le temps l'alcool faisait s'évaporer les dernières réticences qui auraient pu exister, chacun y allant de sa blague, de son anecdote qui amusait tout le monde. Le peu de tabous qui aurait pu exister disparut. Tout en buvant on grignotai des choses et d'autres. Je ne m'occupai plus depuis un moment de surveiller les verres, chacun se servant selon ses besoins et je m'aperçus qu'on buvait sec autour de cette table, moi le premier et je me rendis compte que mon épouse n'était pas la dernière. Je constatai d'ailleurs qu'elle était très complice avec Gérard qui, par exemple, avait décidé, d'autorité, qu'il devait l'accompagner dans la cuisine lorsqu'elle allait chercher des glaçons ou autres choses et, bizarrement, je remarquais le rouges qui colorait ses joues à son retour parmi nous. Mais, étant moi-même dans un état euphorique, sur le moment je ne m'en inquiétais pas outre mesure.De plus mon épouse, en ce début de soirée, exécuta un véritable show de charme devant nos invités qui n'en perdaient pas une miette. Elle croisait, décroisait et recroisait ses jambes, le frottement de ses bas faisait entendre un crissement des plus ...
    ... érotiques. Dans le mouvement, sa jupe, déjà courte, avait tendance à remonter au-delà du raisonnable, découvrant jusqu'à l'ourlet du haut de ses bas. J'étais persuadé qu'au cours de ces mouvements de jambes ses deux collègues assis en face devaient entre-percevoir sa culotte de brefs instants. D'ailleurs, je le voyais bien à la direction de leurs regards, ils en prenaient plein la vue. Enfin, lorsqu'elle se penchait sur la table, l’entrebâillement de son chemisier découvrait largement son soutien-gorge dont les bonnets ,qui cachaient tout juste les tétons, laissaient apparaître le haut de ses aréoles. Je ne pus m’empêcher de me dire, malgré son goût certain pour l'exhibitionnisme, qu'elle allait un peu loin et j'étais tout de même surpris par la façon impudique qu'elle avait de s'exhiber ainsi ce soir. Mais c'était en fait un sentiment assez ambigüe car si j'étais un peu choqué, j'étais en même temps très fier de la beauté de cette femme, cette femme qui vivait avec moi et qui m'avait donné trois merveilleux enfants. Et puis, après tout, cela procurait du plaisir aux mâles au milieu desquels elle se trouvait, moi y compris.C'est vers 21h30 que Denis décida qu'il devait malheureusement nous laisser. Effectivement, me dit-il, moi je n'ai pas la chance d'avoir une épouse partie dans la famille, alors si je rentre trop tard, demain j'ai droit à la soupe à la grimace.C'est comme cela que j'appris que l'épouse de Jean-Luc, qui, lui, reste, est également partie chez ses parents avec les ...
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