1. (Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 1


    Datte: 13/05/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... enfants pendant les vacances scolaires. Les trois garçons présents sont donc libres de toute contrainte.Après avoir salué et raccompagné Denis, nous reprîmes les choses là où elles étaient restées.Sauf que quelques instants plus tard, Gérard lança à la cantonade: « Et si on dansait? Joss, tu nous mets quelque chose de sympa? ».Là, je vis mon épouse changer bizarrement de couleur.« Je ne crois pas que ce soit une bonne idée » répondit-elle.Je crus bien faire en reprenant la balle au bond : « Mais si, bien sur, tu as raison! Çà va mettre de l'ambiance »Et je me levai et me dirigeai vers la chaîne hi-fi. Je trouvai rapidement le CD «Les 100 plus beaux slows du monde », un CD un peu ancien mais idéal par rapport à ce que nous attendions. Je mis la musique en boucle et la voix envoûtante au ton grave de crooner de François Deguelt emplit la pièce:« Allongés sur la plage,Les cheveux dans les yeux,Et le nez dans le sable,On est bien tous les deux......C'est en chantonnant cet air qui m'emplit de nostalgie tant il me rappelait des bons moments de souvenirs de jeunesse, que je vins saisir la main de mon épouse: « Viens, on ouvre le bal! ».En allant vers elle, je m'aperçus qu'elle avait les jambes croisées, sa jambe droite posée sur sa jambe gauche et de ce fait qu'elle découvrait largement le dessous de sa cuisse droite, à tel point qu'on apercevait une large bande de chair blanche et nue au-dessus de son bas. Et comme elle se tenait légèrement tournée vers Gérard, celui-ci avait ...
    ... une vue imprenable sur sa cuisse dénudée.Je n'eus pas trop le temps d'y réfléchir, déjà elle était dans mes bras et nous suivions langoureusement le rythme lent de la danse. C'était un vrai bonheur de danser avec mon épouse, de humer son parfum enivrant dans le creux de son épaule, d'avoir ses deux merveilleux globes mammaires écrasés contre la poitrine, les mains au creux de sa taille qui devinaient la courbure toute proche d'une croupe callipyge. On aurait pu rester des heures à danser avec elle. Mais là ce n'était pas possible, nous avions des invités.Dès les dernières mesures de la chanson, nous nous séparâmes et je la raccompagnai à son siège. Mais elle n'eut pas le temps d'y prendre place, déjà Gérard avait jailli de son fauteuil et s'offrait à me remplacer alors que débutait la chanson suivante: « Je t'aime, moi non plus » avec Jane Birkin et Serge Gainsbourg., chanson oh combien chaude et pleine de sous-entendus très explicites.J'entendis simplement mon épouse marmonner quelque chose comme: « Et voilà, c'est parti! ».Mais n'étant pas certain d'avoir bien compris, je ne prêtai pas trop d'attention à ces quelques mots.Afin de respecter l'ambiance que commandait cette musique alanguie, je vins au lampadaire afin d'en baisser la luminosité et plonger la pièce dans une semi pénombre qui nous permettait toutefois de distinguer les choses.Le couple se trouvait de l'autre côté de la table, pile devant moi.Je remarquai que Guy et Jean-Luc étaient devenus soudainement bien ...
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