1. oceane


    Datte: 14/05/2020, Catégories: Anal Masturbation Première fois

    Océane m’avait appelé en pleurs, un vendredi soir. Son jules venait de la quitter et elle n’avait pas de meilleure amie à qui parler où alors, celle-ci était absente, je n’avais pas trop compris. En tout cas, ce que j’avais bien compris c’est qu’il ne restait plus que moi. Cela fait toujours plaisir de savoir que l’on est le dernier sur la liste. Une heure après, elle débarquait à mon appartement pour user tous mes mouchoirs. J’eus à peine le temps de décommander un rendez-vous galant. Nous étions vendredi soir, quand même ! La semaine avait été dure.Océane était vêtue d’une robe de soirée noire assez courte. Des collants ou des bas aux motifs subtils lui ajoutait un air de femme fatale. J’étais surpris de la voir aussi belle. Etait-ce bien la même Océane qui ne s’habillait qu’en pantalon, à la fac ? Ses yeux étaient légèrement boursouflés et son maquillage avait coulé le long de ses joues. A part ce détail, Océane était splendide ainsi que ses boucles d’oreilles et bracelets qui lui allaient à ravir. Quel idiot devait être son mec pour plaquer une femme comme Océane ? Je ne lui posai pas la question mais, curieusement, la réponse arriva malgré tout dans un flot de paroles et de sanglots mélangés.Pour résumer, cela faisait trois mois qu’Océane était sortie avec un imbécile, un vil monstre, un menteur patenté, un dragueur impénitent qui ne voulait que la faire souffrir tandis qu’elle était si merveilleuse et qu’elle aimait d’un amour fou. Après quelques bribes d’informations ...
    ... supplémentaires, arrivant au compte-goutte, je saisis enfin le nœud du problème : elle lui avait préparé un dîner aux chandelles, se mettant sur son trente et un. Il n’était pas venu.Je n’avais pas les chandelles, mais j’avais la belle Océane, entièrement pour moi, le temps d’une soirée. J’étais plutôt content de mon sort et m’employait à la consoler du mieux que je pouvais. Avec une facilité déconcertante, je trouvais les mots justes pour la rassurer sur sa beauté, sa féminité, son caractère plein de sensibilité mais si attachant, son intelligence. Je ne me forçais pas beaucoup car je le pensais depuis bien longtemps. Régulièrement, elle se blottissait dans mes bras, m’expliquant que moi seul la comprenais et qu’elle avait de la chance de m’avoir comme ami. Dans ce cas, j’aurais aimé qu’elle m’appelle plus souvent…L’heure tournant, je me demandais si Océane n’avait pas eu quelques intentions autres que celle de pleurer au creux de mon épaule. Elle ne semblait pas vouloir s’en aller et il y avait ce sac de ville qu’elle avait apporté et qui me paraissait anormalement remplit. Je m’entends encore lui dire, une fois minuit passé :- Tu n’es pas en état de rentrer chez toi. Tu n’as qu’à rester ici, le temps d’aller mieux. Je te prépare la chambre.- Oh comme tu es gentil ! avait-elle répondu.Ma générosité, hélas, ne s’étendait qu’à Océane car pour moi, il était prévu le vulgaire canapé. Elle me serra dans ses bras et la pression de ses seins sur mon torse fit s’envoler mes quelques ...
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