1. oceane


    Datte: 14/05/2020, Catégories: Anal Masturbation Première fois

    ... chacun un grand verre de jus d’orange tout droit sorti du frigo. Je pris un plateau dans chaque main et avançait précautionneusement vers la chambre d’Océane. Elle devait être réveillée car la lumière était allumée dans sa pièce.Après quelques acrobaties dangereuses pour parvenir à ouvrir la porte, j’entrai dans la pièce. Quand je vis Océane, assise sur le bord du lit, complètement nue, je faillis tout lâcher. Ses genoux étaient appuyés l’un contre l’autre tandis que ses pieds semblaient se regarder légèrement. Sa chevelure un peu ébouriffée descendait jusqu’à voiler deux seins tellement magnifiques et délicats que je ne voyais qu’eux. Océane avait pris son front dans sa main et semblait pleurer encore. Je posais les plateaux sur le sol, non loin d’elle et vint m’asseoir près d’elle sur le lit. Cette fois-ci, je la pris dans mes bras, posant une de mes mains sur ses hanches nues.Elle s’abandonna dans mes bras, sans un mot. Je sentis sa poitrine se durcir contre la mienne. Sa peau était chaude et mon caleçon ne faisait que trahir toujours plus mon désir. Océane eut un petit sourire en le constatant. C’en fut trop. Je la renversai tendrement en arrière, sur le lit. Elle ne protesta pas. Sa fente intime et désirable m’apparaissait à nouveau comme j’en avais rêvé la nuit, oubliant de dormir. Voyant ce qui m’intéressait, Océane desserra ses cuisses pour me dégager la vue. Je n’avais qu’une envie, c’était d’embrasser ce sexe, objet de toutes mes convoitises. Ce fut d’abord Océane ...
    ... que j’embrassais passionnément, goûtant sa salive de ma langue. Puis je redescendis sur ses seins pour en sucer le bout comme deux fraises bien mûres avant de poursuivre la course de mes baisers jusque sur son ventre.Océane se laissait parcourir avec ravissement, dirigeant parfois ma tête vers des endroits qu’elle affectionnait sans doute. Mes baisers lui faisaient un bien fou et son souffle devenait plus court au fur et à mesure que j’approchai de sa toison. Quand ma langue envahit le sexe de cette jeune femme, se fut pour s’y noyer définitivement. Océane : comme elle portait bien son nom. Je sentais les vagues de plaisir la submerger et j’étais ce typhon qui agissait en elle.Après quelques longues minutes passées à écumer ses rivages de sensations délicieuses, je quittai mon caleçon avec une grâce précipitée et me retrouvai nu devant elle, virilité au vent. Tandis que je m’apprêtais à la pénétrer, l’attirant vers moi par ses jambes, Océane eut un mouvement d’hésitation, voire de refus et moi je restais là, ne sachant plus quoi faire de ma queue.Elle devait encore penser à son mec et moi, je m’étais fait un film. Elle avait voulu juste se faire consoler par moi, et quoi de mieux qu’une petite gâterie pour cela ? Je jouais, malgré tout, de mon sexe à l’entrée de son vagin, n’osant pas aller plus loin. Je ne pouvais que constater l’humidité de son antre et regrettait de ne pouvoir en jouir. Océane glissa sa main jusqu’à son sexe et caressa son clitoris de ses doigts. J’étais ...