1. Finir en un bar à putes


    Datte: 15/05/2020, Catégories: Anal Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... étape étant de l'enculer. Jouissive échéance.Je fis cela avec rudesse voire sadisme. Passait en mon esprit, son personnage fadasse si timoré ce dont nous nous étions habitués au quotidien. Je songeais à mon sot copain de voisin qui l'avait en vain dragué ce soir-là dans le RER. Il serait fort surpris de me voir là entrain de lui ravager l'anus avec la bite. J'y allais à fond cette nuit-là en voulant pour mon fric. Elle encaissait le tout avec du flegme émaillant cela de temps en temps de petits cris de jouissance obligés. Enfin parvins-je à une éjaculation suprême évacuant le foutre et de rage en arrachant le préservatif pour le jeter au sol.Je la fixais tandis que je lui tendais les billets. Elle baissait les yeux. J'attendis en vain quelque remerciement d'autant que j'avais à dessein augmenté la somme comme pour lui témoigner ma reconnaissance en même temps que ma pitié. Peut-être éprouva-t-elle ce dernier point qui dut la chagriner plus que l'induire à la honte. A ce moment son téléphone sonna. Elle me tourna le dos pour répondre. Je ne pouvais décemment rester là m'éclipsant sans dire mot. Je me retournais un instant. Elle conversait toujours frêle silhouette au long du mur. Je n'avais jamais été si heureux.Là aussi se trouva-t-il que comme par hasard durant une semaine je ne pus croiser la belle dans le quartier. Manifestement elle s’employait à m'éviter. J'en conçus une vague frustration. J'aurais voulu croiser son regard et lire dans celui-ci son dépit ou une émouvante ...
    ... émotion. N'avions-nous pas d'une certaine façon été intimes là-bas dans le bois près du mur épais ? Nous partagions un lourd et beau secret. J'avais décidé de n'en parler à personne et je voulais le lui dire pour la rassurer un peu. Je ne la jugeais pas. Cela augmentait au contraire son mystère et me la rendait si désirable à présent.Finalement contrevenant à mes habitudes je choisis un mardi soir d'aller là-bas. Un pote m'offrit quelqu'alibi. Je devais l'aider à parfaire sa compta. Il m'offrait en échange de dîner dans un bon restaurant. Je devais rentrer à pas d'heure. Ce genre d'agape était souvent arrosé ce qui désolait ma dame. J’allais au bois et tout droit vers mon fameux mur. Elle était là comme l'autre fois et en compagnie d'une grande fille babillant et fumant toutes deux. Je vis qu'elles riaient ce qui était pour moi une nouveauté quant à ma belle. Cela ne parut l'enchanter que je la surpris en une telle humeur.L'autre devinât pour qui je venais et s'écartât avec tact. Cette fois elle me dévisageât avec aplomb. Elle n’avait plus peur de moi. Cet air sévère me réjouit. Nous allions pouvoir rentrer dans le vif du sujet. Je voulais cependant poser mes conditions et marquer mon territoire. Sans ambages je lui dis que je voulais davantage de temps et faire cela dans une voiture. Je paierais en conséquence. Elle vit que j'étais résolu ce qui emportât un peu son début d'hésitation. Elle me suivit à travers les fourrés se dandinant dans ses fameuses cuissardes. Je bandais ...
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