1. Première rencontre avec Louise


    Datte: 17/05/2020, Catégories: fh, hotel, telnet, massage, Oral

    ... truc. Je débite des banalités plus vite que Gérard Holz lui-même. À en juger par la vitesse à laquelle défilent ses clopes, elle ne s’est pas détendue tant que ça. Clope suivante, s’il vous plaît. Après de multiples tentatives j’ai fini par lui arracher un sourire, un vrai. Je la sens moins stressée, du coup je me sens mieux, moi aussi, je n’ai plus l’impression de dire une connerie à chaque phrase, une toutes les 2 phrases tout au plus… Elle est belle, bien plus que les photos ne pouvaient le laisser penser. Je suis de plus en plus sous le charme, de ses propos ou de sa beauté, je ne sais pas. Des deux probablement. Son pull laisse apparaître un décolleté discret mais fort agréable. L’envie de plonger le regard dedans est forte. Je fais des efforts inhumains pour ne pas me laisser aller. Je n’ai plus envie seulement de lui faire bonne impression. J’ai envie de la séduire alors fixer ses seins ne me semble pas être la meilleure chose à faire dans l’immédiat. Je la regarde donc dans les yeux, en faisant de mon mieux pour ne pas donner l’impression que je la dévore du regard. Je la dévore du regard… Nous discutons de choses importantes, les études, le travail, les 100 raisons pour lesquelles on peut être amené à commander un thé en présence d’une belle femme… Je ne vois pas le temps passer, pourtant je redoute le moment où nous devrons repartir chacun de notre coté. Je ne veux plus la laisser. Ce moment est arrivé justement. « Bon… » dit-elle. Je l’interromps « Tu dois y ...
    ... aller, hein ? » J’ai vu juste. Se rendant compte de l’heure tardive, et alors que je m’attendais à ce qu’elle se lève et me remercie poliment pour le moment passé ensemble, elle me propose « un bout de moquette » dans sa chambre d’hôtel pour que je n’aie pas à rentrer en transports en commun. Je prends l’air blasé et j’accepte le plus naturellement du monde, comme si tous les jours des filles me proposaient un bout de moquette. Nous arrivons à son hôtel. Je commence à repérer la surface moquettée que je pourrais faire mienne. Alors que je suis perdu dans mes investigations elle me remémore une des conversations que nous avions eues sur internet. « Tu me dois un massage » me rappelle t’elle. Il est vrai que présomptueusement je lui avais promis un massage. Me voilà pris au piége, je ne peux me dérober. Non que je n’aie pas envie de lui faire ce cadeau, mais je ne pourrais pas lui cacher longtemps mon incompétence dans le domaine. Qu’importe, il faut y aller. Louise s’allonge sur le ventre. Elle porte une jupe qui me parait soudain bien courte. Je n’avais pas encore fait attention à ses jambes et là j’en prends plein les yeux. Elles sont belles et fines, joliment mises en valeur par ses collants, à moins qu’il ne s’agisse de bas. Je n’irais pas vérifier de toute façon… Je devine également la rondeur de ses fesses malgré la pièce d’étoffe qui les recouvre. La belle femme que voilà… Je commence à avoir chaud mais je m’efforce d’être totalement concentré sur mon devoir. Je m’assois, à ...
«1234...8»