La révélation
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
vengeance,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
... juste après elle. Et si elle avait fait une bêtise… Un accident. Je ne vais tout de même pas lancer une recherche. Avant, je vais passer chez les R… On ne sait jamais. En arrivant, je suis rassuré : sa voiture est devant leur maison. Je sonne. Nadine m’ouvre, et sans me laisser placer un mot me dit : — Elle est là-haut. Suis-moi. Ouf ! Tout va bien. Pas d’accident. Nous allons régler cela calmement. Je vais bien trouver une excuse pour ce faux pas. En haut des marches, un couloir. Au fond, de la lumière, une porte ouverte. Un lit. Un couple s’active. L’homme baise la femme avec violence. Ses fesses velues montent et descendent entre les cuisses largement ouvertes. Il est couché sur elle. Pourquoi me faire monter pour jouer les voyeurs ? Clara doit être dans une autre pièce. Je me tourne vers Nadine pour l’interroger mais elle me fait un geste de la main dans la direction du lit. L’homme se redresse et s’appuie sur un bras pour s’arquer et donner des coups de reins, propulsant son sexe dans la femme. Il se soulève un peu plus et on voit son bras aller entre eux pour manifestement enlever une capote qu’il jette à ses côtés. Dans un râle, on comprend qu’il jouit et puis s’écroule, le visage dans l’oreiller juste à côté de la tête de la femme. La femme ? Mais… Nooonnn ! Clara. Sans m’en rendre compte, j’ai crié son nom. Elle me voit, son regard est trouble. D’un mouvement, elle désarçonne l’homme. Elle parle. — Regardez, ils sont là. Mon salaud de mari et ta putain de femme. ...
... Elle se dresse face à moi, nue, hystérique ; son haleine pue l’alcool, elle est souillée par le sperme de l’homme qui la couvrait l’instant d’avant, l’enfoiré à qui je vais casser la gueule. Mais Clara ne s’arrête pas : elle se tourne vers Laurent, lui parle, comme si j’étais transparent. — Viens, tu vas m’enculer. On va leur montrer que nous aussi on peut le faire. Et elle se met à quatre pattes, tournant ostensiblement sa croupe dans une pose d’une lubricité totale. Mais ne voyant rien venir, elle le regarde et découvre, comme une surprise, que le sexe de l’homme n’est pas en état de la prendre. Cela ne la désarçonne pas. Elle bouge et s’approche de lui. — Approchez ; je vais vous sucer. C’en est trop ! Je ne peux pas ne pas réagir. Je m’approche, l’attrape par le bras, la tire avec violence. — Aïe ! Tu me fais mal. Laisse-moi ! Salaud, salaud ! Je me rends compte que je serre son bras comme dans un étau, mais heureusement elle ne résiste pas vraiment et je peux relâcher mon étreinte. — Chérie, viens, rentrons à la maison. Son attitude change du tout au tout. Elle me regarde, s’effondre en sanglots et j’ai bien du mal à lui faire descendre l’escalier tellement elle titube. Nadine me tend un peignoir car je me vois mal la rhabiller, et m’aide à la mettre dans ma voiture. La suite. D’abord, je remercie la gamine qui garde mon fils. Puis je m’assure qu’elle est bien rentrée chez elle, la maison à côté. Ensuite, toutes lumières éteintes, j’extirpe ma femme toujours amorphe, et une ...