1. La révélation


    Datte: 17/05/2020, Catégories: fh, ffh, couplus, extracon, Collègues / Travail vengeance, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, exercice,

    ... Ensemble. Et surtout, leur faire savoir pour que la vengeance soit vraiment accomplie. La tête me tourne. Je ne comprends pas bien ce qu’il veut dire. J’ai chaud. Mais en un instant je réalise sa proposition. Coucher ensemble ! Il est fou, ou trop malheureux pour se rendre compte ! Mais il insiste, et c’est maintenant un murmure dans mon oreille, une main qui se pose sur ma cuisse. — Vous êtes si belle… Comment peut-il vous tromper ? Imaginez sa jalousie, son regret, ses remords de vous avoir oubliée. Il a raison. Je tourne ma tête pour lui répondre. Mais ses lèvres se joignent aux miennes. Il sent bon le fruit, la poire. Il m’entraîne. Nous montons un escalier. Une chambre. Un lit. Il me caresse, me murmure que je suis belle, que mon corps est une ode à l’amour, mes seins la promesse de… Le plaisir… Oui, c’est bon… Puis des cris, de la lumière. C’est moi qui crie. Jean-Marc est devant moi. Sa putain à ses côtés. Vengeance ! Vengeance ! Je pensais qu’après cette nuit historique du 5 juillet dans l’ascenseur, puis dans le bureau avec le mari qui était venu nous rejoindre, l’attitude de Nadine changerait. Rien. Le lendemain, retour de la Nadine désagréable. J’allais classer dans la catégoriesans suite lorsqu’un mail a relancé l’aventure. Maintenant, régulièrement, une soirée de sexe se passe dans son bureau, souvent avec son mari. Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre ! C’est super chaud… À la question de savoir pourquoi nous n’allions pas chez eux, ils répondaient en chœur ...
    ... : « Pour le fun et le fantasme ! » Et chaque fois, avant de nous quitter, ce couple libéré posait la même question : « Et ta femme, quand va-t-elle se joindre à nous ? » Manifestement, ils avaient du mal à comprendre que je me voyais mal inviter Carla, ma bouillante Italienne de femme, à nos soirées impudiques. Ce soir, comme souvent alors que nous attendions l’arrivée de Laurent, le mari complaisant et inventif de Nadine, je prenais sa femme en levrette, appuyée sur son propre bureau. Elle était particulièrement en forme et son cul palpitait avec une telle obscénité que je l’enculais avec entrain, sous les encouragements de la belle. J’ai mis un temps fou à réaliser que les cris ne venaient pas de Nadine, mais de Carla qui vitupérait comme une furie. La seconde suivante, le silence me déchirait les entrailles. Le plus vite que j’ai pu, j’ai couru pour la rattraper ; mais trop tard, elle était déjà partie. Un saut de voiture chez moi pour découvrir que mon fils dormait sous la surveillance de la fille de la voisine. Je questionne la gamine. Oui, Carla est venue la chercher alors que ce n’était pas prévu. Non, elle n’est pas revenue. Oui, elle peut rester encore pour garder le garçon. Je me ridiculise en appelant ma belle-mère, des amies de ma femme et en avançant des excuses bidon pour demander sans avoir l’air si, par le plus grand des hasards, Carla ne serait pas avec eux. Rien, nada. Je commence à m’inquiéter. Au fait, pourquoi était-elle avec Laurent ? Lui aussi est parti ...
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