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Ce n'était qu'une simple soirée (13)
Datte: 18/05/2020, Catégories: Hétéro
... très mature pour son âge. Elle semble avoir les pieds bien sur terre. — Oui, c’est vrai. Elle a son caractère, mais elle est très bonne élève, très intelligente selon ses professeurs. Je ne me fais pas de soucis pour elle. Il y a une grande confiance entre nous. — Quel portrait élogieux ! Elle n’a vraiment aucun défaut ? Laurence rit. — Oh que si, un gros ! Son style vestimentaire. C’est une catastrophe ! Toujours en jeans avec ses vieilles baskets et ses gros pulls. Aujourd’hui, vous avez de la chance de l’avoir vue ainsi, car c’est très rare, même en été. Je désespère. J’aime bien m’habiller, les beaux vêtements et cela m’attriste vraiment de ne pas avoir su lui donner le goût pour l’élégance. Je profite de la situation pour draguer ouvertement Laurence. — Mais mettez vous à sa place. Il lui est déjà difficile d’être aussi belle que sa maman. Laurence sourit, touchée. — Vous me flattez. — Elle a vos beaux yeux et votre magnifique bouche. Laurence rougit. Je poursuis. — Laurence, rendez-vous compte : il lui est juste impossible d’être aussi élégante que vous. Elle ne peut pas rivaliser et elle le sait pertinemment. Regardez-vous ! — Oh ! Qu’ai-je donc de si élégant dans cette tenue du dimanche ? — Vous voulez ...
... rire ? Votre robe est simple mais très chic. Vos talons sont assortis aux surpiqures, aux boutons et à la ceinture de la robe, tout comme le collier et le bracelet. C’est raffiné, élégant, impeccable. J’ajouterais même que vous avez choisi volontairement le blanc car vous êtes joliment bronzée. Elle hoche la tête en signe d’approbation. — Vous êtes observateur. — Vous attirez le regard. pwupqqiz Nous nous regardons intensément. Je joue mon va-tout. — Et je suis certain qu’une femme aussi coquette que vous a également assorti ses dessous. Je suis prêt à parier qu’ils sont blancs. Elle me regarde en souriant. — Un pari ? Selon vous, je porte un soutien-gorge blanc et… — … un tanga blanc. — C’est précis ! Elle rit et ajoute : — Je vous épargne le type de dessous dont il s’agit. Vous dites que ce que je porte en haut et ce que je porte en bas est blanc. — C’est bien ça. — Si vous avez raison ? — Je déboutonnerai votre robe et vous la retirerai. Laurence ne réagit pas, continuant à sourire. — Et s’ils ne sont pas blancs ? — J’aurai perdu et je vous laisse choisir le gage, chère Laurence. Elle réfléchit quelques secondes. — Il faudra que vous vous déshabilliez devant moi et que vous vous masturbiez. — Je relève le pari.