1. Madrid


    Datte: 19/05/2020, Catégories: fh, inconnu, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... la regardait il ? En quoi pouvait-elle l’intéresser, elle qui savait si bien se faire oublier, se fondre dans la masse… Finalement, quelque peu amusée par la situation, elle décida de découvrire quels pouvaient être les centres d’intérêt de son admirateur. Elle posa son livre à plat sur ses genoux, elle s’étira remontant par-dessus sa tête ses deux bras tendus. Sa petite poitrine déforma agréablement la robe légère. Les yeux mi-clos, comme gênée par la lumière elle resta ainsi quelques secondes. Le regard de Christian estima en connaisseur ce qui lui semblait être deux jolis seins, petits mais adorablement dessinés par l’étoffe de la robe. Une vision qui augmenta à la fois son trouble et son envie d’en savoir plus sur cette liseuse. Mathilda reprit sa lecture et, se penchant un peu en avant posa sa main libre sur son mollet qu ’elle se mit à masser doucement. Etrangement, le contact de sa main sur sa peau la fit frissonner malgré la chaleur. Elle ressentait cette main sur elle comme n’étant pas la sienne. Elle lui semblait guidée par une sorte d’automatisme, d’instinct qui la poussait à continuer. Sa main libre remontait lentement sur sa jambe nue, entraînant jusqu’au genoux le bas de la robe. Christian, de plus en plus fasciné par ces doigts qu’aucune bague n’ornait, regarda apparaître chaque centimètre supplémentaire de cette peau ambrée par le soleil d’Espagne. Son esprit commença à prendre le dessus sur sa timidité et c’est avec une sorte de naïveté charmante qu’il ...
    ... observa sans plus de retenue le manège des mains de Mathilda. Elle leva les yeux de son livre et sans savoir pourquoi, lui sourit. Peut être était elle simplement heureuse d’être là dans ce jardin ombragé, ou plutôt elle se sentait heureuse d’être là, face à cet admirateur anonyme, dont le regard doux ne cherchait à voir que ce qu’elle offrait. Après tout, se dit-elle, nous ne faisons rien de mal, JE ne fais rien de mal. Bizarrement, ces yeux bleus braqués sur elle ne la mettaient pas mal à l’aise, ils faisaient même resurgir en elle un sentiment depuis longtemps enfoui en elle, pas vraiment du désir, juste une envie intense d’offrir, de partager, de vivre quelques instants d’une histoire commune. Cet aveu fait à elle-même, elle caressa son bras nu, comme le ferait un amoureux. Chaque fois qu’elle remontait sa main, elle sentait avec trouble son avant bras effleurer ses seins. Une sensation de redécouvrire son corps coula en elle. Sa main glissa lentement du bras vers la pointe exigeante d’un de ces seins vivant enfin pour eux-mêmes. Quelle tendresse, quelle douceur dans ces gestes, quelle sensualité aussi se dit Christian, spectateur attentif de cette renaissance. Il imaginait la douceur du contour de la poitrine, ce petit pli sous le sein, le plaisir de sentir sous ses doigts une pointe sensible qui appelle la caresse, les effleurements. Il se rendit compte que l’imagination de ce contact transformait peu à peu son sentiment de spectateur privilégie en désir. Mathilda se sentait ...