Passion
Datte: 30/09/2017,
Catégories:
fh,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
Oral
préservati,
fsodo,
amourdura,
extraconj,
... affole mon partenaire. Dans l’excitation, je levai la jambe gauche, comme pour lui offrir toujours plus mon cul. Il me fessa, au milieu de ses va-et-vient puissants et rapides, ce qui ne fit qu’accroître mon excitation et mon envie. Ce n’est qu’au bout d’un moment que je m’aperçus que j’étais face à un miroir. Le miroir semblait assez teinté et je me vis dedans, la bouche ouverte, d’où sortaient mes gémissements incontrôlés, apercevant Sébastien derrière moi, qui me pilonnait avec fougue. Je n’avais jamais été sodomisée par un homme. Disons qu’aucun homme ne m’avait jamais assez mise en condition pour être prête à apprécier la sodomie. Je m’étais sodomisée moi-même avec mon godemiché, pour pouvoir essayer à mon rythme cette pénétration que, j’avoue, je redoutais un peu. Mais à ce moment, j’en ai eu envie. — Tu veux me sodomiser ?— Oh oui, ma belle…— Vas-y ! Je guidais sa main vers mon petit trou. Je l’aidais à y introduire son gland, qui s’y glissa sans problème tant mon anus était lubrifié par ma mouille. Son excitation était telle qu’il ne se contrôlait plus, et il enfonça sa queue d’un coup sec. Une douleur immense m’envahit, un malaise dans mon ventre. — Arrête, Séb ! Non ! Je me retirai. Une sensation horrible m’envahissait, une envie de vomir, je ne pus retenir mes larmes. — Pardon, mon ange. Je suis désolé.— C’est bon. T’en fais pas. Laisse-moi un moment. Il me prit dans ses bras, avec tendresse, s’excusa encore. — Je suis désolée, tu y es allé un peu fort… C’est ...
... cela qui était magnifique avec Sébastien. Malgré nos étreintes qui pouvaient paraître parfois brutales, malgré ces paroles crues que nous ne pouvions nous empêcher de dire, la tendresse était le sentiment qui dominait sans cesse. Jusqu’à il y a peu, il y avait une barrière entre tendres étreintes et séances de soumission, mais nous étions arrivés à un stade où nous pouvions passer d’un état à un autre, sans limite stricte, alors que la tendresse (de l’amour…?) que nous éprouvions l’un pour l’autre primait sans cesse. Nous sommes restés un moment dans les bras l’un de l’autre, à nous embrasser tendrement, à mêler nos langues, au milieu de cette petite entrée sombre que nous avions accaparée, pour un moment que je qualifiais, et que je qualifie encore, comme le plus excitant et érotique de toute ma vie. Au bout d’un moment, nous décidâmes de ressortir. Je n’avais pas remis mon string, décidée à continuer la soirée dans cette tenue légère, bien qu’ayant récupéré mon cadeau, remis à Sébastien quelques instants plus tôt sous la table du restaurant. En rigolant de ce petit moment, nous évoquions notre sortie de l’entrée comme si de rien n’était… Nous commençâmes une balade dans Paris, alternant promenades et arrêt dans des bars, dont un arrêt en terrasse, marqué par un moment de caresses très intimes, sous ma jupe, sous le regard des passants qui semblaient ne se douter de rien. La balade fut marquée par tendres embrassades, rires, paroles crues et terriblement excitantes. Nous fûmes ...