Passion
Datte: 30/09/2017,
Catégories:
fh,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
Oral
préservati,
fsodo,
amourdura,
extraconj,
... accostés par des jeunes filles, sûrement un peu ivres, qui nous félicitèrent de la beauté du couple que nous formions, et clamant que l’amour était si beau… Nous commencions à redouter l’impossibilité de nous quitter comme cela, bien qu’une journée de travail attendait Sébastien le lendemain. Nous nous arrêtâmes dans une petite rue, pour une tendre embrassade, dérapant vers des caresses toujours plus chaudes, Sébastien relevant ma robe pour prendre mes fesses à pleine main. — Nous ne pouvons pas nous quitter comme cela, murmura Sébastien.— Tu veux que nous prenions une chambre d’hôtel ? Je venais de poser cette question, bien que pas du tout enchantée par cette perspective, mais cela me semblait la seule solution. Nous avions une certaine appréhension de la chambre d’hôtel. Un endroit comme cela, neutre, nous semblait vraiment glauque pour vivre ensemble des moments charnels. Nous avions passé un week-end de trois jours à Disneyland, où Sébastien m’avait invitée. Et ce week-end s’était révélé comme un échec, dans la mesure où nous nous étions attendus à un week-end merveilleux, opportun à l’arrivée de sentiments. Mais tout cela ne s’est pas passé. Certes, nous avions beaucoup rigolé, vécu de beaux moments charnels, mais quelque chose manquait. Nous avions attribué cela à une trop grand attente de ce moment, au fait que nous nous trouvions dans un lieu neutre. À ce moment, j’avais eu peur, en particulier, du lendemain, au moment où nous allions quitter la chambre d’hôtel. Je ...
... m’étais mis dans l’idée que Sébastien m’invite chez lui, mais c’était délicat, du fait que son appartement n’est pas à lui, mais à lui et à sa compagne. Néanmoins, je m’étais demandé s’il le ferait… C’est ridicule, mais c’était une sorte de défi pour moi. Il m’a demandé si c’était possible d’aller à l’endroit où je logeais. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai répondu en lui demandant s’il ne serait pas plutôt possible d’aller chez lui. Et, à mon grand étonnement, il a acquiescé. Encore une fois, c’est ridicule, mais je ressentis une espèce de fierté. Mais, une fois dans le taxi, cette fierté s’est évanouie pour une certaine honte et une peur, celle de m’immiscer dans son couple, de voir, une fois dans son appartement, les traces de son couple. À notre arrivée, je lui ai fait part de mon malaise. J’étais la première femme qu’il invitait chez lui. Je lui ai dit que j’étais désolée. Je me suis sentie nulle et, une fois dans l’appartement, je n’osais pas lever les yeux pour le visiter. Je me rappelle m’être presque précipitée dans la chambre, pour en voir le moins possible. Nous avons rapidement entamé une nuit de plaisirs qui s’est prolongée le lendemain, dans la journée, Sébastien ayant renoncé à sa journée de travail, ce qui m’a beaucoup touchée. À cette occasion, Sébastien m’a initiée aux plaisirs du miroir, me présentant dans des positions très provocantes, désireux de me montrer comment il me voyait, pour m’expliquer pourquoi je l’excitais tant. Au début, me voir comme cela, ...