1. U né apprenti salope


    Datte: 20/05/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Je suis une salope. Je me souviens clairement de ce moment où je dus me résoudre à me reconnaître comme tel. Cela m'est venu naturellement. La tentation de m'y opposer ou d'en éprouver un peu de honte m'effleurèrent à peine. Il faut dire que mon comportement de la veille et le témoignage cru et brut des sens n'allaient pas en ce sens. Je n'avais pas peu été étonné de ma complaisance voire de ma soumission à l'égard de ses deux bons hommes. Ceux-ci il est vrai en imposaient. L'un était mon patron et l'autre un client dudit patron et non moins patron aussi d'une belle PME allemande.A cette foire d'Hambourg, venue en quelque sorte dans les bagages de mon patron pouvais-je vraiment m'opposer à quelque chose. Je jouais en cette matière à l'ingénue nantie de mes vingt- ans.Mon physique ne passant guère inaperçu. Quelque part être jolie devient un poids et une corvée. Vous apprenez à devenir une proie ou un objet de convoitise. Certaines à bon droit s'en offusquent. Moi je n'eus quasiment pas le temps de me poser de telles questions. Je suis passée fort vite à la casserole et le sort qui m'a été fait, m'a très vite, trop vite comblé et épanoui. J'ai pris mon pied.Troublante révélation. Autant mon dépucelage entrepris par un camarade de lycée avait été pénible et laborieux, autant cet ouvrier de mon père qui me prit un jour de force et fut un temps mon amant me fut une formidable révélation. Lui-même me confirmât : « Tu es fait pour le sexe. » dit-il un jour ce en remontant son ...
    ... pantalon. Il est vrai j'avais appris fort vite entre ses bras. On eût dit que tous ces gestes je les avais appris déjà dans une autre vie trahissant dans mes ébats comme une sorte de réminiscence. J'eus droit à cet égard de mon amant cet autre propos : «Tu finiras sur le trottoir. »Ce soir-là à Hambourg on avait fait fort. J'étais devenue depuis un an la maîtresse en titre de mon patron. Ce qui me pesait c'était l'hostilité des collègues jaloux dont des femmes qui m'eurent volontiers supplanté dans ce rôle. J’avais beau expliqué que je n'avais guère allumé cet homme et qu'il m’avait spontanément dragué et attrapé, elles n'en voulaient rien croire. De toute façon je n'avais cure de son statut. Tout simplement il me prenait bien. J'adorais le matin qu'il m'oblige entre ses cuisses à le sucer tandis qu'il passait ses premiers coups de fil. J'adorais sa queue en ma bouche.Après cela finissait par un coït hâtif sur le bureau. Des fois il lui prenait fantaisie de m'ordonner d'abandonner ma culotte dans son tiroir et de me balader toute la journée ainsi dans les bureaux. Je tremblais qu'on ne s'en aperçut et m'astreignait à toutes sortes de stratégies pour ne pas me baisser ou écarter les cuisses intempestivement. En début de soirée j'obtenais que la culotte me fut restituée après une bonne pipe et un coup de bite dans le cul. Ce type était un porc. On m'en raconta beaucoup sur mon compte et dont il me fit la confidence des fois. Il était pire qu'un libertin.Ce jour-là à Hambourg après ...
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