1. U né apprenti salope


    Datte: 20/05/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... une soirée trop arrosée nous nous trouvâmes je ne sais comment dans une de ces rues sulfureuses où sévissent des putes et dont se font spécialité nos amis du Nord et d'Outre-Rhin. J'étais toute flageolante sur mes guibolles car encore prise par l'alcool. Je n'en étais pas moins stupéfaite et éblouie par l'ambiance et ses filles magnifiques offertes à la concupiscence de tant de mâles. D'emblée les enviais-je. Sorte de stars en gloire sur leur piédestal. Elles étaient fantastiquement déguisées. Je rêvais un jour de les imiter me vêtant et me grimant comme elles.A un moment nous échouâmes dans un sex-shop. On y vendait entre autres des tenues hot et sexy. Notre choix tombât bientôt sur une paire de cuissardes en vinyle et une paire d’escarpins pointus noirs à talons de 12 cm. Du moins fut-ce à l'initiative des deux bonhommes. Ils m'obligèrent de les essayer et de m’exhiber ainsi au-devant d'eux. Ils furent en joie et acquirent illico lesdits articles et bras-dessus dessous nous nous en retournâmes à l'hôtel y entraînant notre allemand. Mon patron déchaîné escomptait y ouvrir là-bas une bouteille de champagne et entreprendre tant de choses.Je n'étais pas moins excitée. J'admis volontiers d'enfiler mes cuissardes arborant toujours une jupe courte de tailleur suivant les prescriptions d'un patron qui ne se lassait jamais d'admirer mes belles cuisses et de me caresser subrepticement les fesses. Dans le miroir je fus éblouie moi-même du spectacle que j'offrais. L’allemand à ce ...
    ... moment me fit la surprise d'extirper de dessous une flamboyante perruque rouge qu'il avait là-bas acheté à notre insu. J'en fus aussitôt coiffée. Et miracle j’apparus semblable aux prostituées de là-bas et que j'avais tant admiré. Étant des leurs.Le bouchon de champagne sauta. La mousse en jaillit en un geyser et dont il n'échappa à personne le sens métaphorique évoquant une chose bien précise. Mon patron m'avait pris déjà sur les genoux et m'embrassait goulûment et sans façon sur la bouche devant notre autre cochon. Là il ne se contraignit plus. J'étais ici adoubée pute plus que collaboratrice. L'alcool a toujours eu quelqu'effet néfaste sur moi. La réservée et timide accouche d'une affamée de sexe et de plaisir. J'aspire alors à être prise et d’att****r une bite dans ma bouche, mon cul ou ailleurs. Mes porcs en gloussaient.Outre que sa main me pelotait les nichons que j'avais fort beaux celle-ci impunément s'enfonçait dans la culotte et me pétrissait la chatte. J'étais au comble du désir. Bientôt je fus déshabillé hors les cuissardes et les Dim-up conservés. Le patron s'était enquit de me jeter sur le canapé et de me lécher tantôt la moule tantôt le cul devant l'ami allemand. Tout cela m'excitait au plus haut point. Je n'aime rien tant que d'être exhibée devant un tiers et de savoir fascinée qu'il bande pour moi. Il est maintenant concevable qu'un jour j'arpenterais un certain trottoir avec d'autres filles.En l’occurrence peu après j'avais la queue du patron dans la bouche et je ...