1. Fantasmes à réaliser


    Datte: 20/05/2020, Catégories: fh, jardin, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Oral 69, fdanus, hdanus,

    Ce récit est une co-écriture entre mon amie et moi. Étant séparés physiquement, il correspond à des idées que nous n’avons pas encore eu le temps d’explorer dans la réalité mais qui ne sauraient tarder à se réaliser… C’était un jour de printemps. Ce genre de jour de la semaine où l’on se dit que l’on serait bien partout mais ailleurs qu’au boulot. Coup du hasard ou sourire de la chance, Mia avait décidé de ne pas aller travailler aujourd’hui et avait rendez-vous avec Luc en ce début d’après-midi dans un des parcs forestiers de la région. Elle marchait à sa rencontre le long des allées bordant les grandes pelouses à l’orée de la forêt. Mia était une belle femme, élancée, les cheveux roux, avec de grands yeux, un petit nez et une bouche à croquer. Avec le soleil daignant enfin apparaître et les températures clémentes, elle était vêtue légèrement : elle portait une robe courte à fines bretelles, légèrement évasée et terminant au-dessus des genoux, et un petit gilet en laine pour couvrir ses épaules et ses bras nus. En guise de chaussures, elle portait les spartiates lacées jusqu’à mi-mollet pour lesquelles elle avait craqué la veille. Elle appréciait cette brise légère qui soufflait depuis le matin car elle la sentait s’immiscer entre ses genoux, courir le long de ses cuisses jusqu’à venir caresser doucement, telle une plume, son intimité ; c’est pourquoi, dès qu’elle le pouvait elle retirait cet artifice de séduction pour regagner le naturel de la liberté. Alors que ses ...
    ... pensées s’égaraient entre l’après-midi qui s’annonçait et ses vacances à venir, elle aperçut Luc au loin. Celui-ci arrivait de l’autre bout de la longue ligne droite en face d’elle. Heureux de s’être libéré des contraintes habituelles, il marchait d’un pas pressé en guettant la silhouette de Mia. C’était une des premières fois que tous deux prenaient le temps de se retrouver toute une après-midi, très ensoleillée de plus. Pour l’occasion, il était habillé en lin beige et avait enfin pu ressortir ses tongs favorites, ses alliées de la belle saison. « Quel bonheur », pensait-il, « de pouvoir s’allonger dans la prairie toute colorée des fleurs de printemps, et d’admirer les arbres de la forêt s’agiter au rythme du vent. » Il aperçut à son tour Mia, qui avait déjà un grand sourire. En effet, ainsi revêtu et avec le léger bronzage qu’il avait pris à Biarritz, il était vraiment splendide. Elle pouvait déjà apercevoir ses deux perles bleues scintiller ainsi que son collier portant la troisième. Il lui rendit son sourire et s’empressa d’aller la serrer dans ses bras. Ils s’embrassèrent tendrement sur les lèvres et chacun ressentit la chaleur de l’autre. Elle avait la peau douce et le délice de son parfum ajoutait à la sensation de fraîcheur qu’elle dégageait. Luc la serra un peu plus contre lui et vint enfouir sa tête dans son cou pour être au plus près d’elle. Elle lui rendit son étreinte, inclina légèrement la tête contre la sienne, passa une main douce sur sa nuque puis dans ses cheveux ...
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