Fantasmes à réaliser - Histoires de Sexe

Fantasmes à réaliser

... pouvait sentir l’odeur de sa peau qui était de plus en plus marquée avec la chaleur de l’après-midi. Il remarqua que ce parfum, qu’il avait pourtant respiré de nombreuses fois, correspondait étrangement au sien. Peut-être était-ce une des raisons pour lesquelles il avait sans cesse envie de revenir poser son visage sur le corps de cette femme. Luc mit alors doucement sa tête dans le creux des reins qui s’offrait à lui. Il resta un moment dans cette position à regarder le paysage vu des fesses de Mia. Puis il posa l’appareil et remonta ses mains sur ses épaules pour les masser de nouveau. Elle se détendait chaque fois un peu plus à chaque pétrissage de ces mains expertes, et ses longs soupirs en disaient long. Il vint ensuite se mettre au-dessus d’elle et se plaqua de tout son poids, ce qu’elle aimait tant car elle pouvait ainsi bien le sentir. Il l’embrassa tendrement dans le cou, dégustant cette peau sucrée et elle sentait son souffle, ce qui la faisait frissonner encore plus. Elle ne manquait pas de se cambrer de temps à autre pour venir au contact serré de son sexe, ce qu’il appréciait fortement. Il lui répondit en la pressant contre lui plus encore : — Retourne-toi. Elle se rassit et, au vu de ce que couvrait encore sa robe, décida de la retirer. Pleine d’audace, elle se mit debout et dans un lent mouvement langoureux défit le lien de sa taille, ôta les bretelles et fit glisser sa robe jusqu’à ses pieds. N’étant plus vêtue que de ses nu-pieds, elle resta un court ...

... instant à contempler la grande étendue d’herbe puis se rallongea sur le dos, les mains derrière la tête et les jambes fléchies. Luc n’avait pas perdu une miette du spectacle. Oubliant l’appareil il s’était laissé absorber par l’effeuillage qui l’avait déjà rendu bien dur. Elle l’attendait avec ce regard entendu qui lui disait combien elle était prête à prendre du plaisir et à en donner. Tous deux semblaient avoir oublié qu’ils étaient dans un lieu public et qu’ils risquaient de se faire surprendre à chaque instant, mais peu leur importait et ils continuèrent comme s’ils étaient seuls au monde. Il s’approcha lentement d’elle et s’attarda sur ses seins, il les caressa d’abord doucement en embrassant tour à tour les tétons, puis les caresses se firent plus appuyées et les baisers plus mordants. Dans un souffle Mia laissa échapper un « Plus fort ». À cette demande, Luc mordilla avec plus d’ardeur. Plus il mordait plus elle semblait apprécier. Il les abandonna un moment pour descendre le long de son ventre. Il se délectait de chaque parcelle de peau qu’il rencontrait. Durant de longues minutes il s’attarda à l’orée de son sexe qui n’était recouvert que d’un petit triangle de poils bruns. Il le contournait, passait de son ventre à l’aine puis de l’aine au ventre. Subrepticement les cuisses de Mia s’étaient allongées et sans s’en rendre compte elle les écartait de plus en plus. Elle invitait cette bouche qui faisait monter son désir à venir le faire exploser. Feignant de ne pas s’être ...