Le Mystère de Fréhel
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
uniforme,
boitenuit,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
policier,
... acheva de l’exciter au plus haut point. — Continue, vas-y, continue, je vais jouir, vas-y, salaud, baise-moi, encore, encore, encore… ouiiiiiii ! Elle s’effondra, tête la première sur le réservoir. Jean-Yves se retira et entreprit de se branler en regardant le tableau. Le plus beau de tous. Céline se retourna, sans mot dire et s’accroupit à nouveau. — Oh ouii, oui, Céline, c’est là que je veux jouir, suce-moi, belle salope ! Elle ne prit pas garde au mot cru que venait de lancer Jean-Yves. Elle prit le sexe en bouche, sentit l’odeur de sa chatte et lécha avidement son propre jus qui le faisait briller. Lentement, puis plus vite. Jean-Yves ne pouvait plus se contenir. Il hurla : sa queue déversa un flot de sperme épais et chaud dans la gorge de la petite blonde. Céline avala tant bien que mal l’afflux de semence, mais ne put tout prendre. Du foutre coula sur ses lèvres et son menton. Elle le ramassa du bout des doigts et s’en délecta. Leurs regards se croisèrent un long moment, ils flottaient. Jean-Yves prit le visage de Céline entre ses mains solides et déposa un baiser charnel sur sa bouche. — Joyeux Noël, ma belle…— À toi aussi. L’incongruité du lieu où ils s’étaient échangé leurs "présents" finit par les déranger. Ils sortirent, croisant les regards interrogateurs, puis envieux, de deux hommes, occupés à éliminer leur trop-plein de bière. Cela acheva de les convaincre de retrouver la fête au plus vite. Céline lâcha la main de Jean-Yves au milieu de la piste de danse et ...
... se déhancha sur"Four to the floor", le tube remixé de Starsailor. Le Tallec, qui préférait largement l’original, et qui, surtout, n’aimait pas danser, reprit position auprès du bar. Il commanda un troisième cognac à Michel, et entreprit de le siroter en admirant les formes de la femme dont il venait de se délecter. Son corps serré dans la robe noire lui donna un nouveau frisson. Il souriait aux anges. Il fut tiré de son enivrante absence par une voix stridente de femme émanant de la piste. — Colmar ! Allez, viens danser, viens ! Colmar ! C’était l’un des pseudos couchés sur le petit carnet rose de Christelle Beaubois. Le Tallec retrouva vite ses esprits et son instinct de flic. Il chercha du regard la personne que la fille venait d’interpeller. À l’autre extrémité du zinc, un type se leva de son tabouret pour rejoindre les danseurs : un géant d’au moins 1,90 m, chauve, les yeux exorbités, une balafre sur la joue droite. Il songea immédiatement au chanteur du groupe australien "Midnight Oil". Mais si le visage de Peter Garrett reflétait la sympathie, celui du molosse n’inspirait aucune envie de faire connaissance. La dureté de ses traits, son immense regard noir et son rictus affiché agirent comme un électrochoc pour le flic parisien. Il fallait suivre ce type à la trace, en savoir plus. Le géant se bougeait maladroitement sur la piste, bousculant ceux qui le serraient de près. Personne n’osait lui en tenir rigueur. Le Tallec attrapa le regard de Céline, lui fit signe de le ...