Jeux libertins par grands chaleurs - Histoires de Sexe

Jeux libertins par grands chaleurs

Le retour aux grandes chaleurs avant même le début de l’été est propice au raffermissement de la libido dans notre couple. La fenêtre de la chambre ouverte, nous dormons nus, un léger drap enveloppant nos corps. Diffusés par notre transpiration, nos phéromones captées par nos odorats respectifs ont pour effet de redoubler notre attraction mutuelle et donc notre intensité sexuelle. Pendant le coït, nous sommes ramenés à l’état brut avec nos sexes qui collent, claquent et coulent après l’extase. Éveillés au petit matin, nous refaisons l’amour sachant que l’énergie fera défaut dans la journée en raison de la canicule harassante. Parfois, nous prolongeons nos ébats sous la douche en profitant d’un moment de fraîcheur. Debout dans la cabine, Béatrice, ma femme, passe ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille, mes mains soutenant ses fesses pour faciliter le rapport. L’approche de l’été est généralement une période où nous sortons de notre routine et rencontrons des ami(e)s qui font le bonheur de notre sexualité. Nous choisissons le lieu : bosquet dans un parc ; plage ; piscine privée ; cinéma ; voiture ; résidence d’amis ou club climatisé. D’un commun accord, nous sélectionnons ensuite les options : à deux ; en trio ; avec un autre couple. Les multiples combinaisons lieu(x) - partenaire(s) offrent une base de réflexion pour élaborer une esquisse de scénario d’un événement coquin partagé. Une fois le projet défini, nous nous appliquons à sa mise en œuvre en ...

... choisissant précisément le lieu et le (s) partenaire (s). Libertins assumés, nous connaissons des couples et des célibataires que nous associons, depuis plusieurs années, à nos jeux. Tant bien même nos attentes sont préalablement définies, nous sommes ouverts aux imprévus. Pour le premier événement de la saison, nous invitons des voisins, Jean et Laure, à une promenade après le dîner. Nous les rejoignons à l’entrée d’un parc de notre ville. Dans le crépuscule, nous marchons sur les sentiers de randonnée en profitant d’une température raisonnable. Des couples, assis sur des bancs, s’embrassent tandis que des promeneurs seuls leur lancent des regards furtifs. Des groupes de personnes nous croisent dans les allées quadrillant des carrés de gazon. À l’extrémité du parc, des arbustes plantés de façon rapprochée forment un bosquet au feuillage dense dans lequel nous entrons. Adossée à un hêtre, Béatrice attire Jean qui l’embrasse en lui relevant la robe. Laure s’est agenouillée sur l’herbe, sort ma queue du pantalon et entreprend une fellation. Son compagnon suce les seins et caresse le pubis de ma femme. Puis il tille le clitoris en mordillant les tétons. Béatrice se retourne, appuie ses bras sur le tronc d’un arbre, écarte les jambes. Laure aspire mon membre tendu au fond de la gorge et le déglutit lentement. Elle branle la garde et lèche le gland tout en se caressant la chatte les cuisses ouvertes. Jean va-et-vient dans le sexe de ma femme qu’il tient par les poignées d’amour. Ma ...